Catégorie : Albert Merat

I

Le cirque entre ses murs puissants tient un espace
Que l’œil mesure à peine ; et son immensité
Où triomphalement le vol des aigles … (Continuer)

Ton front est le foyer où mon âme rayonne,
Le ciel de la pensée où palpite et frissonne
Mon rêve, oiseau chanteur aux longues ailes … (Continuer)

Dans l’allée où l’on va souvent, près du théâtre,
Vous avez admiré la gravité folâtre
Des coucous du pays qu’on prendrait pour un jeu ; … (Continuer)

Le ciel, il faut le ciel vaste comme le vide
A mon front ivre d’air, à mon cœur fou d’azur !
Le ciel sublime, avec … (Continuer)

Comme un prêtre jaloux qui pare son idole,
J’étais fier de lui mettre au front une auréole ;
Et dans l’azur profond et vague de … (Continuer)

Des larges prés ayant le flot bleu pour frontière,
Jetés dans les wagons monstrueux et hurlants,
Les bœufs, souffrant de l’air qui leur cingle les … (Continuer)

Ainsi que la lueur d’une lampe d’opale
Veillant dans une alcôve ou devant un autel,
Ainsi, rayon d’amour ou soupir immortel,
Le feu de la … (Continuer)

Oh ! les mauvais dîners charmants
Couvrant un seul bout de la table,
Les faciles raffinements,
Et le bonheur inévitable !

C’était trop chaud, c’était … (Continuer)

S’il est vrai qu’on fait bien d’admirer lentement
Le dessin magnifique et pur du sol charmant,
Les bois frais, les blés verts qui sont de … (Continuer)

Le soleil s’est levé du milieu des collines
Comme le premier-né divin des nuits d’été,
Déchirant, dans un vol de flammes emporté,
Du matin frissonnant … (Continuer)

Comment aurait-elle pu,
Quand je le pouvais à peine,
Renouer le fil rompu
De notre vie incertaine ?

Les baisers sont des baisers.
Les caresses, … (Continuer)

Les Grecs, pour honorer une de leurs Vénus,
Inscrivaient Callipyge au socle de la pierre.
Ils aimaient, par amour de la grande matière,
La vérité … (Continuer)

C’était une de ces nuits blondes
Qu’il fait après les jours brûlants :
Pleine d’aurores vagabondes
Et de crépuscules tremblants.

Les arbres, décor sympathique
Sur … (Continuer)

Une source descend de la roche brunie :
Les filles de Plomar viennent laver au bas
Aux coups vifs des battoirs se mêle le fracas… (Continuer)

La ville que je veux serait je ne sais où,
Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou prés d’un fleuve en Chine.
L’air bleuirait sa tour … (Continuer)

Appuyé sur les reins et sur les contours blancs
Des cuisses, au-dessous des merveilles du buste,
Le ventre épanouit sa tension robuste
Et joint par … (Continuer)