Murmure autour de ma nacelle,
Douce mer dont les flots chéris,
Ainsi qu’une amante fidèle,
Jettent une plainte éternelle
Sur ces poétiques débris.
Que j’aime … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne sélection de poèmes de Lamartine (1790-1869), figure majeure du romantisme français, poète et homme politique de la IIe République, né à Mâcon, mort à Paris.
Murmure autour de ma nacelle,
Douce mer dont les flots chéris,
Ainsi qu’une amante fidèle,
Jettent une plainte éternelle
Sur ces poétiques débris.
Que j’aime … (Continuer)
Laisser un CommentaireLorsque seul avec toi, pensive et recueillie,
Tes deux mains dans la mienne, assis à tes côtés,
J’abandonne mon âme aux molles voluptés
Et je … (Continuer)
(Au peuple du 19 octobre 1830)
Vains efforts ! périlleuse audace !
Me disent des amis au geste menaçant,
Le lion même faitil grâce
Quand … (Continuer)
… L’astre qu’à ton berceau le mage vit éclore,
L’étoile qui guida les bergers de l’aurore
Vers le Dieu couronné d’indigence et d’affront,
Répandit sur … (Continuer)
Viens, cherchons cette ombre propice
Jusqu’à l’heure où de ce séjour
Les fleurs fermeront leur calice
Aux regards languissants du jour.
Voilà ton ciel, ô … (Continuer)
(A M. de la Mennais)
Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes :
Déposant le fardeau des misères humaines,
Laissant errer mes sens … (Continuer)
(À une jeune étrangère.)
Quand tes beaux pieds distraits errent, ô jeune fille,
Sur ce sable mouillé, frange d’or de la mer,
Baisse-toi, mon amour, … (Continuer)
… Et l’astre qui tombait de nuage en nuage,
Suspendait sur les flots son orbe sans rayon,
Puis plongeait la moitié de sa sanglante image,… (Continuer)
Voilà ce chêne solitaire
Dont le rocher s’est couronné,
Parlez à ce tronc séculaire,
Demandez comment il est né.
Un gland tombe de l’arbre et … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe jour s’éteint sur tes collines,
Ô terre où languissent mes pas !
Quand pourrez-vous, mes yeux, quand pourrez-vous, hélas !
Saluer les splendeurs divines … (Continuer)
Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire,
Descend avec lenteur de son char de victoire.
Le nuage éclatant qui le cache à … (Continuer)
Toi qui du jour mourant consoles la nature,
Parais, flambeau des nuits, lève-toi dans les cieux ;
Etends autour de moi, sur la pâle verdure, … (Continuer)
Pourquoi le prononcer ce nom de la patrie ?
Dans son brillant exil mon coeur en a frémi ;
Il résonne de loin dans mon … (Continuer)
Ramenez-moi, disais-je, au fortuné rivage
Où Naples réfléchit dans une mer d’azur
Ses palais, ses coteaux, ses astres sans nuage,
Où l’oranger fleurit sous un … (Continuer)
Versez du sang ! frappez encore !
Plus vous retranchez ses rameaux,
Plus le tronc sacré voit éclore
Ses rejetons toujours nouveaux !
Estce un … (Continuer)
De l’amandier tige fleurie,
Symbole, hélas! de la beauté,
Comme toi, la fleur de la vie
Fleurit et tombe avant l’été.
Qu’on la néglige ou … (Continuer)
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