Aux bords du Bendemir est un berceau de roses
Que jusqu’au dernier jour on me verra chérir ;
Le chant du rossignol, dans ses fleurs … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes d’Amable Tastu, poétesse française née à Metz (1795) et décédée à Palaiseau (1885), célèbre pour ses écrits.
Aux bords du Bendemir est un berceau de roses
Que jusqu’au dernier jour on me verra chérir ;
Le chant du rossignol, dans ses fleurs … (Continuer)
Humble et chétive fleur, par le sort condamnée,
Sur le flanc d’un volcan pourquoi donc es-tu née ?
Qu’as-tu fait à ce sort, dont l’injuste … (Continuer)
Connaissez-vous ces monts dont la tête immobile
Oppose son silence au bruit des flots mouvants ?
Au sein de leurs rochers est un pieux asile… (Continuer)
Le jour fuit, la nuit tombe, et ses ombres glacées
Ajoutent leur tristesse à mes tristes pensées !
Pour moi, tout est besoin, souffrance, isolement,… (Continuer)
Heureux qui, dans l’essor d’une verve facile,
Soumet à ses pensers un langage docile ;
Qui ne sent point sa voix expirer dans son sein,… (Continuer)
Tous en beauté croissaient ensemble,
Sous le toit qui leur était cher ;
Cherchez quel tombeau les rassemble !
Les monts, les fleuves et la … (Continuer)
Laissez, ne troublez pas l’heure qui m’est donnée ;
Que je puisse au bonheur reprendre un peu de foi !
Innombrables liens dont ma vie … (Continuer)
Oh ! ne puis-je étouffer les vains bruits de la vie,
Éloigner son calice amer,
Fuir cette route obscure, où je suis asservie,
Pour des … (Continuer)
Déjà tu la connais, tu grandis sous son aile,
Jeune enfant aux yeux noirs ; demeure-lui fidèle :
Les fils de l’Hélicon, de leurs plus … (Continuer)
Si peu nombreux encore, tes jours coulent bien sombres,
Jeune année, et ton front est enveloppé d’ombres.
De ces nuages noirs, qui déguisent les cieux,… (Continuer)
De force, au chemin qui nous coule,
Pourquoi, Seigneur, nous pousser tous ?
Si le Christ a fraye la route,
Il savait ! Et que … (Continuer)
J’aime à voir dans ces chants, nobles fils du génie,
Qu’enfantait immortels l’aveugle d’Ionie,
L’impétueux Ajax ceindre le fer d’Hector
Et parer le Troyen de … (Continuer)
La voilà, dites-vous ? Quoi ! c’est la jeune fille,
Dont j’admirai naguère, au sein de sa famille,
Dans leur pure fraîcheur les attraits séduisants … (Continuer)
La paix, toujours et vainement briguée,
La paix me fuit ; oh ! je suis fatiguée !
Je voudrais vivre, et ne veux plus courir … (Continuer)
Sur l’azur plus pâle des cieux
Le crépuscule étend son voile,
Des bergers la bleuâtre étoile
Pare son front silencieux.
Des oiseaux le peuple sonore… (Continuer)
Oh ! pourquoi de ce Temps, l’étoffe de la vie,
Ne pouvons-nous, dis-moi, jouir à notre envie,
Sans le déchirer par lambeau ?
Des trois … (Continuer)