Dieu, dans sa sagesse profonde,
A-t-il tout créé par sa voix,
Ou si le hasard seul au monde
Impose aveuglement ses lois ?
Pour te … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de Victor Louis Amédée Pommier (1803-1877), poète français né à Vaise. Découvrez les œuvres de cet homme de lettres parisien.
Dieu, dans sa sagesse profonde,
A-t-il tout créé par sa voix,
Ou si le hasard seul au monde
Impose aveuglement ses lois ?
Pour te … (Continuer)
D’un doute périlleux ton cœur est combattu,
Je le vois, et, si Dieu ne te prête son aide,
Je crains qu’à l’ennemi ta faiblesse ne … (Continuer)
Faux éclat des grandeurs pour lequel on soupire,
Opulentes cités, ambitieux palais,
Princes, et toi, Fortune, au perfide sourire,
J’ai trouvé loin de vous l’innocence … (Continuer)
Les habits en désordre et la main sur tes yeux,
Tu pleures feu l’Amour, dolente, échevelée.
Je ne suis pas surpris si sa tombe est … (Continuer)
Si le doge est son père, ou si c’est quelque autre homme,
C’est ce dont, pour ma part, je m’inquiète peu.
Dès qu’elle a pris … (Continuer)
Derrière le miroir, ce démon aux aguets,
Dans ce discret asile où l’élégance règne,
Ces roses, ces bijoux, tout ici vous enseigne
A ne pas … (Continuer)
Qu’il sent bien son terroir, ce cadre de Giraud !
Toute l’Espagne est là, chaude, pimpante et leste,
Hommes en bas de soie, en magnifique … (Continuer)
En négligé galant, trônant dans son boudoir,
La nouvelle épousée (elle est au moins marquise),
Avec ses traits mutins et d’une grâce exquise,
Regarde le … (Continuer)
Chut ! Avançons sans bruit, gardons de l’éveiller.
Nous pourrons contempler, sous le rideau des branches,
L’imprudente dormeuse, et ses épaules blanches,
Et ses bras … (Continuer)
Entre quinze et vingt ans, le cœur tout neuf, qui sort
De sa torpeur première et qui commence à vivre,
S’enflamme quelquefois tout de bon, … (Continuer)
Je te revois, île chérie,
Frais et voluptueux séjour,
Où l’ombrage, arrêtant les traits brûlants du jour,
Et formant sur ma tête une arcade fleurie,… (Continuer)
Blanche a de grands yeux bleus d’une douceur insigne,
Qu’elle ferme à demi, d’un air tendre et mourant.
Son petit nez mutin est rose et … (Continuer)
Il est gisant sur le rivage
Le jeune arbuste à peine né,
Qui d’un destin plus fortuné
Semblait nous offrir le présage :
Hier il … (Continuer)
Wattier n’est pas Watteau : vous confondiez peut-être.
Doux ébats de Cythère à l’ombre des bosquets,
Convives attablés à de joyeux banquets,
Ou, sur l’herbe, … (Continuer)
Sous le rideau de pourpre et son reflet vermeil,
Du lit encourtiné tu délaisses la plume,
Car il est déjà tard et ta vitre s’allume … (Continuer)
A quoi donc rêves-tu, ma gentille bacchante,
Nonchalamment couchée à l’ombre de ce bois ?
Quel est le grand objet qui t’occupe ? Ah ! … (Continuer)