Catégorie : Antoine de Latour

A Saint-Cloud, sous le bois, tout rouge de colère,
Un enfant poursuivait sa bonne en la frappant ;
Une dame passait qui dit, le voyant … (Continuer)

Si vous l’avez trouvé, rapportez-moi mon livre,
L’hôte consolateur de mon obscur foyer,
Un de ces doux amis qui nous aident à vivre,
Et nous … (Continuer)

Où donc est le printemps ? Endormi sous la nue
Le soleil ne luit pas ou brille sans chaleur,
Et dans les champs, la neige, … (Continuer)

Où va cette arche à qui les ondes
Ouvrent leur sein obéissant ?
Au vaste naufrage des mondes
Elle dérobe l’innocent.
De cette merveilleuse tombe … (Continuer)

Un matin que, troublé de sa mélancolie,
Mon cœur péniblement portait le poids du jour,
Je suivais le chemin, méditant la folie
A qui nous … (Continuer)

Laissez-moi retrouver, là-haut, sur la colline,
Dans les sentiers qu’hier nous avons parcourus,
L’enivrant souvenir de cette heure divine
Qui ne reviendra plus ;

Heure … (Continuer)

Vous m’avez renvoyé ce livre sans le lire,
Et sans être écouté son chant m’est revenu ;
Il est beau cependant, et j’aurais bien voulu … (Continuer)

Quand l’aube vient toucher mon chevet solitaire,
Mon œil, sans soulever sa pesante paupière,
Sent vaguement le jour poindre sur l’horizon,
Et la nuit, en … (Continuer)

Ô muse, avais-je dit, que me font tes merveilles ?
Elles n’enchantent plus la scène où nous passons.
Pour consoler du jour le ciel a … (Continuer)

Vous avez près de vous une mère adorée,
Esprit jeune et charmant, indulgente raison,
Et que dans votre cœur, comme dans sa maison,
La douleur … (Continuer)

Oh ! ne jouez jamais, laissez l’homme courir
De l’or et du hasard cette chance vulgaire ;
Les anges dans le ciel, les femmes sur … (Continuer)

Oh ! le charmant tableau, la suave peinture
Que celle où vers saint Jean, Jésus, le Dieu martyr,
Tend ses deux petits bras ! à … (Continuer)

Le soir, quand votre front s’incline sur la plage
Où s’écrit, jour à jour, plus d’un rêve charmant,
Devant votre foyer élevez prudemment
Cet écran … (Continuer)

Ce jour est un beau jour, et je bénis cette heure,
Car des hôtes divins qui m’étaient inconnus
Sous mon toit solitaire aujourd’hui sont venus, … (Continuer)

On dit que le poète en son œuvre chantante
N’épuise pas toujours le souffle inspirateur,
Qu’en se laissant courir sa main insouciante
Revêt les moindres … (Continuer)

Louise, le matin, à l’heure du réveil,
Lorsque par un baiser votre mère adorée
Vous invite à bénir dans la langue sacrée
Le Dieu qui … (Continuer)