Catégorie : Claude Malleville

Le silence régnait sur la terre et sur l’onde,
L’air devenait serein et l’Olympe vermeil,
Et l’amoureux Zéphir affranchi du sommeil
Ressuscitait les fleurs d’une … (Continuer)

Si tôt que j’eus quitté les délices du port
Et d’un oeil affligé pris congé du rivage,
J’appris que de la mer l’infidèle passage
Était … (Continuer)

Que Parténice est belle, encor qu’elle soit noire !
C’est le plus digne objet où s’adressent nos voeux ;
A l’ébène éclatant qui luit en … (Continuer)

L’étoile de Vénus si brillante et si belle,
Annonçait à nos yeux la naissance du jour,
Zéphire embrassait Flore, et soupirant d’amour,
Baisait de son … (Continuer)

Cloris dont la présence à mes yeux est si chère
Et dont l’éloignement est si rude à mon coeur,
Mon sort est si cruel qu’il … (Continuer)

Quand Philis chaque jour inventait quelque outrage
Pour troubler mes désirs et mon contentement,
Il semblait qu’à l’envi d’un si rude tourment
Mon amour augmentait … (Continuer)

Le silence régnait sur la terre et sur l’onde,
L’air devenait serein et l’Olympe vermeil,
Et l’amoureux Zéphire affranchi du sommeil
Ressuscitait les fleurs d’une … (Continuer)

Je suis en même temps et de glace et de flamme,
La crainte et le désir accompagnent mes pas,
Ma peine a ses plaisirs, mon … (Continuer)

Philis, les yeux en pleurs et le coeur en tristesse,
Implore le secours de notre charité
Et ne brille pas moins au fort de sa … (Continuer)