Les blés sont mûrs et la terre est mouillée,
Les grands labours dorment sous la gelée.
L’oiseau si beau, hier, s’est envolé;
La porte est … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de Félix Leclerc (1914-1988), poète québécois né à La Tuque, auteur-compositeur majeur qui a marqué la culture francophone du 20e siècle.
Les blés sont mûrs et la terre est mouillée,
Les grands labours dorment sous la gelée.
L’oiseau si beau, hier, s’est envolé;
La porte est … (Continuer)
La mer n’est pas la mer
C’est un gouffre sans fond
Qui avale les garçons
Par les matins trop clairs
L’amour n’est pas l’amour
C’est … (Continuer)
Paroles : Félix Leclerc.
Musique : Félix Leclerc et François Dompierre.
Salut, salut les enfants
Que faites-vous dehors
À la barre du jour?
On regarde … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans l’ train pour Sainte-Adèle
Y avait un homme qui voulait débarquer
Mais allez donc débarquer
Quand le train file cinquante milles à l’heure
Et … (Continuer)
Pour une p’tite chanson
J’donnerais ma maison
Com’ un sac de pierres
J’écrase la terre
Je voudrais m’en aller et voler dans l’horizon
Mais j’ai … (Continuer)
Notre sentier près du ruisseau est déchiré par les labours
Si tu venais, dis-moi le jour, je t’attendrai sous le bouleau
Les nids sont vides … (Continuer)
À la mort de leur mère
Tous les fils sont venus
Pour parler au notaire
Afin d’avoir des écus
Chapeau noir, les yeux dans l’eau… (Continuer)
Laisser un CommentaireLa voisine a ri de nous autres
Parce qu’on avait douze enfants,
Changé son fusil d’épaule
Depuis qu’elle en a autant…
Attends-moi, ti-gars,
Tu vas … (Continuer)
C’était un Québécois
Narquois comme tout Québécois
Qu’on trouva pendu l’autre fois
Sous la gargouille d’un toit
Il était amoureux
Ça rend un homme bien … (Continuer)
C’est un petit bonheur
Que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer
Il s’est mis … (Continuer)
À tous les bohémiens, les bohémiennes de ma rue
Qui sont pas musiciens, ni comédiens, ni clowns
Ni danseurs, ni chanteurs, ni voyageurs, ni rien… (Continuer)
En 1760
Un soir de février
Il gelait à pierre fendre
Au fort Stadaconé
Les colons morfondus
De s’être tant battus
Ont fermé les battants… (Continuer)
Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé
Ils m’ont porté de l’école à la guerre
J’ai traversé sur mes souliers ferrés
Le monde et sa misère… (Continuer)
En mil neuf cent un
Être un poète est un malheur
Surtout au temps de Nelligan
À Montréal
C’était comme être juif sous les nazis… (Continuer)
Tu te lèveras tôt
Tu mettras ton capot
Et tu iras dehors
L’arbre dans ta ruelle
Le bonhomme dans le port
Les yeux des demoiselles… (Continuer)
Pour supporter le difficile
Et l’inutile
Y a l’ tour de l’île
Quarante-deux milles
De choses tranquilles
Pour oublier grande blessure
Dessous l’armure
Été, hiver,… (Continuer)