Au nom du roi Louis XIII.
À l’occasion de la première guerre des princes.
1614.
Les funestes complots des âmes forcenées
Qui pensaient triompher de … (Continuer)
Une sélection de poèmes de François de Malherbe (1555-1628), poète français de Caen et figure majeure de la poésie classique au présidial de Paris.
Au nom du roi Louis XIII.
À l’occasion de la première guerre des princes.
1614.
Les funestes complots des âmes forcenées
Qui pensaient triompher de … (Continuer)
Fragments d’une ode.
1623 ou 1624.
Grand et grand prince de l’église,
Richelieu, jusques à la mort,
Quelque chemin que l’homme élise,
Il est à … (Continuer)
Au roi Henri Le Grand.
1607 ou 1608.
Mon roi, s’il est ainsi que des choses futures
L’école d’Apollon apprend la vérité,
Quel ordre merveilleux … (Continuer)
Beauté, mon cher souci, de qui l’âme incertaine
A, comme l’Océan, son flux et son reflux,
Pensez de vous résoudre à soulager ma peine,
Ou … (Continuer)
Pour M. Le duc de Bellegarde.
Sur la guérison de Chrysante.
1616.
Les destins sont vaincus, et le flux de mes larmes
De leur main … (Continuer)
xxPour l’inviter à revenir de Provence à Paris.
1605.
Quoi donc ! grande princesse, en la terre adorée,
Et que même le ciel est … (Continuer)
Pour Alcandre, au retour d’Oranthe à Fontainebleau.
1609.
Revenez, mes plaisirs, ma dame est revenue ;
Et les vœux que j’ai faits pour revoir ses … (Continuer)
1611.
Plus Mars que Mars de la Thrace,
Mon père victorieux
Aux rois les plus glorieux
Ota la première place.
Ma mère vient d’une race … (Continuer)
Laisser un CommentaireDestins je le connais, vous avez arrêté
Qu’aux deux fils de mon roi se partage la terre,
Et qu’après le trépas ce miracle de guerre,… (Continuer)
Au nom du duc de Bellegarde.
1610.
Enfin l’ire du ciel et sa fatale envie,
Dont j’avais repoussé tant d’injustes efforts,
Ont détruit ma fortune, … (Continuer)
Pleine de langues et de voix,
Ô Roi le miracle des rois
Je viens de voir toute la terre,
Et publier en ses deux bouts… (Continuer)
Stances sur la mort de sa fille.
1599.
Ta douleur, Du Perrier, sera donc éternelle ?
Et les tristes discours
Que te met en l’esprit … (Continuer)
STANCES.
1586.
Si des maux renaissants avec ma patience
N’ont pouvoir d’arrêter un esprit si hautain,
Le temps est médecin d’heureuse expérience ;
Son remède … (Continuer)
C’est assez, mes désirs, qu’un aveugle penser,
Trop peu discrètement vous ait fait adresser
Au plus haut objet de la terre ;
Quittez cette poursuite, … (Continuer)
Fait conjointement avec la duchesse
de Bellegarde et le marquis de Racan.
1606.
Qu’autres que vous soient désirées,
Qu’autres que vous soient adorées,
Cela se … (Continuer)
1609.
Que l’honneur de mon prince est cher aux destinées !
Que le démon est grand qui lui sert de support !
Et que visiblement … (Continuer)