(Sur sa bienvenue en France.)
Peuples, qu’on mette sur la tête
Tout ce que la terre a de fleurs ;
Peuples, que cette belle fête … (Continuer)
Une sélection de poèmes de François de Malherbe (1555-1628), poète français de Caen et figure majeure de la poésie classique au présidial de Paris.
(Sur sa bienvenue en France.)
Peuples, qu’on mette sur la tête
Tout ce que la terre a de fleurs ;
Peuples, que cette belle fête … (Continuer)
Quoi donc c’est un arrêt qui n’épargne personne
Que rien n’est icibas heureux parfaitement,
Et qu’on ne peut au monde avoir contentement,
Qu’un funeste malheur … (Continuer)
Estce à jamais, folle espérance,
Que tes infidèles appas
M’empêcheront la délivrance
Que me propose le trépas ?
La raison veut, et la nature,
Qu’après … (Continuer)
Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle,
Et les tristes discours
Que te met en l’esprit l’amitié paternelle
L’augmenteront toujours
Le malheur de ta fille … (Continuer)
Laisser un CommentaireCaliste, en cet exil j’ai l’âme si gênée
Qu’au tourment que je souffre il n’est rien de pareil :
Et ne saurais ouïr ni raison, … (Continuer)
Chanson pour M. le duc de Bellegarde, amoureux d’une dame
de la plus haute condition qui fût en France, et même en Europe.
1616.
Mes … (Continuer)
Laisser un CommentaireAlcandre plaint la captivité de sa maîtresse.
1609.
Que d’épines, Amour, accompagnent tes roses !
Que d’une aveugle erreur tu laisses toutes choses
À la … (Continuer)
x(Sur l’absence de la vicomtesse d’Auchy.)
1608.
Quel astre malheureux ma fortune a bâtie ?
À quelles dures lois m’a le Ciel attaché,
Que … (Continuer)
Les destins sont vaincus, et le flux de mes larmes
De leur main insolente a fait tomber les armes ;
Amour en ce combat a … (Continuer)
Pour Henri le Grand, sous le nom d’Alcandre,
au sujet de l’absence de la princesse de Condé,
sous le nom d’Oranthe.
1609.
Donc cette merveille … (Continuer)
Laisser un Commentaire(Sur la réduction de Marseille à l’obéissance de ce roi, sous
les ordres du duc de Guise, gouverneur de Provence.)
1596.
Enfin, après tant d’années, … (Continuer)
Laisser un CommentairexxPour M. le duc de Bellegarde,
À madame la princesse de Conti.
1608.
Dure contrainte de partir,
À quoi je ne puis consentir,
Et … (Continuer)
(À la vicomtesse d’Auchy.)
1608.
Il n’est rien de si beau comme Caliste est belle :
C’est une oeuvre où Nature a fait tous ses … (Continuer)
Mon roi, s’il est ainsi que des choses futures,
L’école d’Apollon apprend la vérité,
Quel ordre merveilleux de belles aventures
Va combler de lauriers votre … (Continuer)
Quoi donc, grande princesse, en la terre adorée,
Et que même le Ciel est contraint d’admirer,
Vous avez résolu de nous voir demeurer
En une … (Continuer)
À la Reine Marie de Médicis.
(Pendant sa régence.)
1611.
Objet divin des âmes et des yeux,
Reine, le chef-d’œuvre des cieux,
Quels doctes vers … (Continuer)