Voici de ton Etat la plus grande merveille,
Ce fils où ta vertu reluit si vivement ;
Approchetoi, mon prince, et vois le mouvement
Qu’en … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de François de Malherbe (1555-1628), poète français de Caen et figure majeure de la poésie classique au présidial de Paris.
Voici de ton Etat la plus grande merveille,
Ce fils où ta vertu reluit si vivement ;
Approchetoi, mon prince, et vois le mouvement
Qu’en … (Continuer)
Stances pour M. le duc de Montpensier
qui demandait en mariage Madame Catherine,
La princesse de Navarre, sœur d’Henri IV.
1591 ou 1592.
Beau ciel, … (Continuer)
Laisser un CommentairexxSur l’éloignement prochain de la comtesse de
La Roche, ou de la vicomtesse d’Auchy.
1608.
Le dernier de mes jours est dessus l’horizon ; … (Continuer)
Laisser un CommentairePour le roi allant en Limousin.
1605.
Ô Dieu, dont les bontés, de nos larmes touchées,
Ont aux vaines fureurs les armes arrachées,
Et rangé … (Continuer)
(À la vicomtesse d’Auchy.)
1608.
Caliste, en cet exil j’ai l’âme si gênée,
Qu’au tourment que je souffre il n’est rien de pareil ;
Et … (Continuer)
Quel astre malheureux ma fortune a bâtie ?
A quelles dures lois m’a le Ciel attaché,
Que l’extrême regret ne m’ait point empêché
De me … (Continuer)
FRAGMENT.
1604.
. . . . . . . . . . .
L’Orne comme autrefois nous reverrait encore,
Ravis de ces pensers que le … (Continuer)
A la fin tant d’amants dont les âmes blessées
Languissent nuit et jour,
Verront sur leur auteur leurs peines renversées,
Et seront consolés aux dépens … (Continuer)
Pour les Paladins de France,
Assaillants dans un combat de barrière.
1605.
Et quoi donc ? la France féconde
En incomparables guerriers,
Aura jusqu’aux deux … (Continuer)
(Sous le nom de Rodanthe.)
1622 ou 1623.
Chère beauté que mon âme ravie
Comme son pôle va regardant,
Quel astre d’ire et d’envie
Quand … (Continuer)
Pour Henri le Grand, sous le nom d’Alcandre.
1609.
Quelque ennui donc qu’en cette absence
Avec une injuste licence
Le Destin me fasse endurer,
Ma … (Continuer)
Mes yeux, vous m’êtes superflus ;
Cette beauté qui m’est ravie,
Fut seule ma vue et ma vie,
Je ne vois plus, ni ne vis … (Continuer)
(Sur la mort de Mgr. le duc d’Orléans, son second fils.)
1611.
Consolez-vous, madame ; apaisez votre plainte :
La France, à qui vos yeux … (Continuer)
Cette Anne si belle,
Qu’on vante si fort,
Pourquoi ne vientelle,
Vraiment elle a tort ?
Son LOUIS soupire
Après ses appas,
Que veutelle dire… (Continuer)
Ceux-ci, de qui vos yeux admirent la venue,
Pour un fameux honneur qu’ils brûlent d’acquérir
Partis des bords lointains d’une terre inconnue,
S’en vont au … (Continuer)
Stances.
Quoi donc, ma lâcheté sera si criminelle ?
Et les voeux que j’ai faits pourront si peu sur moi,
Que je quitte Madame, et … (Continuer)