Mon ange a reployé ses ailes
Et dort glacé sous un linceul ;
Coulez, ô larmes éternelles,
Car ici-bas je reste seul.
Ô chère ombre … (Continuer)
Laisser un CommentaireMon ange a reployé ses ailes
Et dort glacé sous un linceul ;
Coulez, ô larmes éternelles,
Car ici-bas je reste seul.
Ô chère ombre … (Continuer)
Laisser un CommentaireAux temps futurs si tu veux vivre libre,
Connais tes droits, jeûne postérité ;
Que ton cœur batte et que ton âme vibre
Aux fiers … (Continuer)
Veux-tu, jeune étranger, habiter nos rivages ?
Veux-tu fixer tes pas sous ce ciel radieux ?
Viens là-bas avec moi sous ces palmiers sauvages,
Viens, … (Continuer)
Pourquoi convoiter l’opulence,
Lorsqu’on a bon œil et bon bras ?
Quand le cœur est plein de vaillance,
On est heureux en tous états.
Allons … (Continuer)
Laisser un CommentaireJeunes et vieux, si vous êtes moroses
J’ai le secret de rendre la gaité ;
Si vous voulez voir refleurir les roses
De votre teint, … (Continuer)
Pourquoi ne pas aimer lorsqu’on est jeune et belle,
Qu’on a la joue en fleur et que sous son corset,
Où le sein devient fort … (Continuer)
Les champs, les lacs et les vallées
Isolées
Furent longtemps les seuls amours
De mes jours.
Il semblait que des voix mystiques,
Sympathiques,
Tout bas … (Continuer)
Ce qu’il nous faut, à nous, pauvres poètes,
Tribu rebelle à tout joug détesté,
C’est une lyre avec des chansonnettes,
C’est le soleil avec la … (Continuer)
Le gai chevreau bondit et se suspend
Aux longs rameaux du cytise ou du saule ;
Capricieux, sur les cimes grimpant,
Il court aux fleurs, … (Continuer)
Ce que l’on voit dans le temps où nous sommes
Ne peut manquer d’attrister le regard.
Tels nains grandis pensent être des hommes,
Et tout … (Continuer)
Par l’esprit ou par la fortune
J’aime à voir tout homme grandir ;
Nulle gloire ne m’importune,
Je ne suis pas las d’applaudir ;
Je … (Continuer)
Pourquoi semer sur notre route
Tant de vains dogmes affligeants ?
L’amour s’enfuit sans qu’on s’en doute,
Lorsqu’il voit venir les vieux ans.
On chante … (Continuer)
Chacun de vos attraits vaut une sérénade ;
Votre bouche semble être une rouge grenade,
Où quiconque vous voit, voudrait pouvoir poser
Avec un mot … (Continuer)
On me voit, courant les pieds nus,
Rire avec les premiers venus ;
D’autres fois en mules de soie
Aux palais j’apporte la joie ; … (Continuer)
Le sang de l’innocent a tant rougi l’histoire,
La force a tant pesé sur le monde abaissé
Qu’on craint toujours de voir dans le ciel … (Continuer)
Ce que j’aime à voir, ce que j’aime au monde,
Ce que j’aime à voir,
Veux-tu le savoir ?
Ce sont tes beaux yeux, c’est … (Continuer)