A la merci des vents, des flots, et de l’orage,
Je vogue sur la mer de peine et de douleur,
J’ai pour pilote amour, pour … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
A la merci des vents, des flots, et de l’orage,
Je vogue sur la mer de peine et de douleur,
J’ai pour pilote amour, pour … (Continuer)
Peintre, avant que d’oser pourtraire
Ma dame et de la contrefaire,
Élève ton esprit aux cieux,
Va làhaut apprendre des dieux
Et des déesses immortelles… (Continuer)
Que des sombres Enfers les tremblantes horreurs
Viennent m’environner, les cavernes affreuses,
Les fleuves ensoufrés, les âmes malheureuses,
La mort, l’effroi, la peur, la rage … (Continuer)
Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance,
Car tu m’as déchargé du faix de mes douleurs,
Tu as éteint ma flamme et chassé mes … (Continuer)
Celui ne suisje point, divine chasseresse,
Qui veneur effronté t’aperçut dedans l’eau,
Comme tu te baignais avecques ton troupeau,
Veneur rendu la proie à sa … (Continuer)
Ah ! que je suis fâché ! maudit soit le réveil
Qui me prive du bien dont j’avais jouissance
Cette nuit en songeant. Las ! … (Continuer)
J’ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
Du breuvage des dieux, de la manne prisée,
Du miel, du sucre doux, de la douce rosée,… (Continuer)
Viens, ma belle Florelle, où l’ombre noir tremblote,
Sur les bords mousselus des antres ténébreux.
Il fait trop chaud ici, cherchons les bois ombreux,
Le … (Continuer)
Amour m’a découvert une beauté si belle
Que je brûle et englace et en me consumant
J’éprouve, tant me plaît ma flamme et mon tourment,… (Continuer)
A l’ombre des myrtes verts,
Sur un lit fait de fleurettes,
De roses, de violettes,
Et de cent fleurons divers,
Au doux bruit d’une ondelette,… (Continuer)
Laisser un CommentaireJe suis si transporté d’aise et d’étonnement
Quand j’entre dans ces bois, les loges éternelles
De Pan et des Sylvains et des Dryades belles,
Qu’oubliant … (Continuer)
Sur les feux de la SaintJean
L’on ne voit rien que feux, l’air est tout enflammé,
Le ciel est tout rougi, à peine la lumière… (Continuer)
Sur la sombre minuit qu’une liqueur miellée
Avait sillé mes yeux d’un paresseux sommeil,
Le Songe me fit voir en funeste appareil
La Mort d’un … (Continuer)
Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs,
Doucement je languis, doucement je me pâme,
Dessus ta lèvre molle erre … (Continuer)
Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir
Le pourpre soupirant de tes lèvres mollettes,
Quand nous faisons frayer le bout de … (Continuer)
Mon dieu ! que de plaisir il y a de songer !
J’ai songé cette nuit, ô ma chère maîtresse,
Que je baisais ton sein, … (Continuer)