Muses, adieu, et votre chant jazard !
Adieu Phoebus, et ma fière déesse !
Livres, adieu, adieu la tourbe espesse
De mes amys, adieu tout … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Muses, adieu, et votre chant jazard !
Adieu Phoebus, et ma fière déesse !
Livres, adieu, adieu la tourbe espesse
De mes amys, adieu tout … (Continuer)
Quand tu naquis en ces bas lieux
Tous les dieux et les demi dieux
Et les déesses plus bénines
Gravèrent de lettres divines
Dans ton … (Continuer)
Soit qu’esgaré par l’espesseur d’un bois,
Ou par l’horreur de quelque antre sauvage,
Ou soit qu’auprès d’un trepillant rivage,
Je tranche l’air des souspirs de … (Continuer)
Ce n’est pas moy qui veut d’un feint ouvrage
Par mille vers farder sa passion,
Ou en flatant plaire à l’affection
De l’amoureux inconstant et … (Continuer)
Depuis le jour qu’il me convint distraire,
Et d’avec moy, comme voeuf m’absenter,
Je n’ay cessé de plaindre et lamenter,
Traisnant ma vie amerement austere.… (Continuer)
En quel fleuve areneux jaunement s’écouloit
L’or, qui blondist si bien les cheveux de ma dame ?
Et du brillant esclat de sa jumelle flamme,… (Continuer)
Ode
Si en un lieu solitaire
Les ennuis me font retraire
Pour me plaindre tout seulet,
Si je cherche les montagnes,
Ou des plus vertes … (Continuer)