Tout le monde se plaint de la cruelle envie
Que la nature porte aux longueurs de nos jours :
Hommes, vous vous trompez, ils ne … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Tout le monde se plaint de la cruelle envie
Que la nature porte aux longueurs de nos jours :
Hommes, vous vous trompez, ils ne … (Continuer)
Si j’avais comme vous, mignardes colombelles,
Des plumages si beaux sur mon corps attachés,
On aurait beau tenir mes esprits empêchés
De l’indomptable fer de … (Continuer)
Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge
Tous ces nerfs, tous ces os ; où l’Ame se depart
De ceste orde … (Continuer)
Qui serait dans les Cieux, et baisserait sa vue
Sur le large pourpris de ce sec élément,
Il ne croirait de tout rien qu’un point … (Continuer)
Mais si fautil mourir ! et la vie orgueilleuse,
Qui brave de la mort, sentira ses fureurs ;
Les Soleils haleront ces journalieres fleurs,
Et … (Continuer)
Pour qui tant de travaux ? pour vous? de qui l’aleine
Pantelle en la poictrine et traine sa langueur ?
Vos desseins sont bien loin … (Continuer)
Tout s’enfle contre moy, tout m’assaut, tout me tente,
Et le Monde et la Chair, et l’Ange revolté,
Dont l’onde, dont l’effort, dont le charme … (Continuer)
Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
Qui traîne lentement les ondes dans la mer,
Sans que les Aquilons le fassent écumer
Ni … (Continuer)
Que faitesvous dedans mes os,
Petites vapeurs enflammées,
Dont les pétillantes fumées
M’étouffent sans fin le repos ?
Vous me portez de veine en veine… (Continuer)
Laisser un CommentaireMon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux,
Et pour trop de clarté leur ôtez la lumière,
Je ne vois rien que vous, … (Continuer)
Il est vrai, mon amour était sujet au change,
Avant que j’eusse appris d’aimer solidement,
Mais si je n’eusse vu cet astre consumant,
Je n’aurais … (Continuer)
Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie,
Vie qui meurt encor dans le tombeau du Corps,
Vous qui r’amoncelez vos tresors, des tresors
De … (Continuer)
Si tant de maux passez ne m’ont acquis ce bien,
Que vous croyez au moins que je vous suis fidelle,
Ou si vous le croyez, … (Continuer)
Tandis que dedans l’air un autre air je respire,
Et qu’à l’envy du feu j’allume mon desir,
Que j’enfle contre l’eau les eaux de mon … (Continuer)
Qui sont, qui sont ceuxlà, dont le coeur idolâtre
Se jette aux pieds du Monde, et flatte ses honneurs,
Et qui sont ces valets, et … (Continuer)
Mais si mon foible corps (qui comme l’eau s’escoule)
Et s’affermit encor plus longtemps qu’un plus fort)
S’avance à tous moments vers le sueil de … (Continuer)