Mon coeur ne te rends point à ces ennuis d’absence,
Et quelque forts qu’ils soient sois encore plus fort,
Quand même tu serais sur le … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Mon coeur ne te rends point à ces ennuis d’absence,
Et quelque forts qu’ils soient sois encore plus fort,
Quand même tu serais sur le … (Continuer)
Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre
Que me donne l’absence, et les jours, et les nuits
Font tant qu’à tous moments je … (Continuer)
Je sens dedans mon âme une guerre civile,
D’un parti ma raison, mes sens d’autre parti,
Dont le brûlant discord ne peut être amorti
Tant … (Continuer)
Ne vous étonnez point si mon esprit qui passe
De travail en travail par tant de mouvements,
Depuis qu’il est banni dans ces éloignements,
Tout … (Continuer)
Helas ! contez vos jours : les jours qui sont passez
Sont desja morts pour vous, ceux qui viennent encore
Mourront tous sur le point … (Continuer)
Voulezvous voir ce traict qui si roide s’eslance
Dedans l’air qu’il poursuit au partir de la main ?
Il monte, il monte, il perd : … (Continuer)
Si c’est dessus les eaux que la terre est pressée,
Comment se soutientelle encor si fermement,
Et si c’est sur les vents qu’elle a son … (Continuer)
Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive,
Que ma bouche et mes yeux reprissent leur devoir !
Écrire est peu : c’est … (Continuer)
Vous languissez, mes vers ; les glaçons de l’absence
Éteignant vos fureurs au point de leur naissance,
Vous n’entrebattez plus de soupirs votre flanc,
Vos … (Continuer)
Ma belle languissait dans sa funeste couche
Où la mort ces beaux yeux de leurs traits désarmait,
Et le feu dans sa moëlle allumé consumait… (Continuer)
Les vents grondaient en l’air, les plus sombres nuages
Nous dérobaient le jour pêlemêle entassés,
Les abîmes d’enfer étaient au ciel poussés,
La mer s’enflait … (Continuer)
Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie,
Sortit tout enflammé, sur les nefs des Grégeois,
Et qu’Achille charmait d’une plaintive voix
Son oisive … (Continuer)