Arbres qui lamentez la cruelle infortune
De ce pauvre garçon, qui trop audacieux,
Dans le tour recourbé du grand plancher des cieux
Osa pousser le … (Continuer)
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Arbres qui lamentez la cruelle infortune
De ce pauvre garçon, qui trop audacieux,
Dans le tour recourbé du grand plancher des cieux
Osa pousser le … (Continuer)
Pourquoi de tes dédains sensje la cruauté,
Dismoi, fière beauté ?
Cet acte casuel troubletil ta pensée ?
Oui, car mes traîtres yeux ont attisé … (Continuer)
Ô Songe doux, ô fantôme croyable
Qui m’entretiens en l’amoureux plaisir !
Entre mes bras, Hélène, mon désir,
Je te tenais cette nuit favorable,
Je … (Continuer)
Laisser un CommentaireC’est une folie extrême
D’être fidèle en amour.
Il faut aimer qui nous aime,
Et changer de jour en jour.
Qui un seul but se … (Continuer)
Pourquoi fautil que ta face divine
Soit en tous temps sous ce triste velous,
Et que tes yeux de mon plaisir jaloux
Soient découverts pour … (Continuer)
Vous le dites m’amour ? Soyez religieuse,
Portant le voile noir, franche d’ambitions,
Que jeûner soit vos jeux, vos ris confessions,
Et vos plus beaux … (Continuer)
Pauvre Ixion, pauvre amant misérable,
Infortuné, chétif, audacieux,
Tu fis l’amour à la reine des cieux :
Même dessein m’a rendu ton semblable.
Une déesse, … (Continuer)
Laisser un CommentaireDéjà Phoebus delà l’Espagne noire
Avait plongé son char cloué de feux,
Lorsque Morphée épandit sur mes yeux
Ces jus sacrés qui ôtent la mémoire.… (Continuer)
Déjà le ciel prenait sa cape noire,
Le blond Soleil sommeillait sous les eaux,
Quand mon esprit au fort de ses travaux,
Songeant, brûlant, pressait … (Continuer)
Tout le long de la nuit et lorsqu’à notre jour
Se découvrent les prés et les hautes montagnes,
Seul et déconforté, je vais par les … (Continuer)
Qui me peut réjouir puisque tu gis malade ?
Mon départ n’aurait pas engendré ta langueur ?
Ah ! nenni ! Mais tu feins, pour … (Continuer)
Je voudrais bien sous la voûte infernale
Être un Ixie en tes bras étendu,
Presser ton corps heureusement rendu
En cet état que mon coeur … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’oiseau miraculeux de l’heureuse Arabie
Qui vit sans parangon sous le manteau des cieux,
Quand il a sillonné le grand fleuve oublieux,
Il respire en … (Continuer)
Par l’effort du destin, ma gentille Cyprine
Languissait l’autre jour dans son lit amoureux.
Son beau front bleuissait, et son oeil doucereux
Éteignait peu à … (Continuer)
Arbres feuillus, dont la verdeur première
Ombrage l’huis du palais non pareil
Où le destin tient enclos ce bel oeil
Qui me ravit de sa … (Continuer)