Catégorie : Joachim du Bellay

La grecque poésie orgueilleuse se vante
Du los* qu’à son Homère Alexandre donna,
Et les vers que César de Virgile sonna,
La latine aujourd’hui les … (Continuer)

Combien que ton Magny ait la plume si bonne,
Si prendraisje avec lui de tes vertus le soin,
Sachant que Dieu, qui n’a de nos … (Continuer)

Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs,
Je ne veux retracer les beaux traits d’un Horace,
Et moins veuxje imiter d’un Pétrarque la grâce,
Ou … (Continuer)

Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici,
Tu me dis, mon La Haye, il m’en souvient encore :
Souviennetoi, Bellay, de ce que … (Continuer)

Tu dis que Du Bellay tient réputation,
Et que de ses amis à ne tient plus de compte :
Si ne suisje seigneur, prince, marquis … (Continuer)

Sonnet CXXVI.

Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
Trêve que le chrétien ne peut assez chanter,
Puisque seule tu as la vertu d’enchanter… (Continuer)

Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
Et rien de Rome en Rome n’aperçois,
Ces vieux palais, ces vieux arcs que tu vois,
Et ces … (Continuer)

Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
Trêve que le chrétien ne peut assez chanter,
Puisque seule tu as la vertu d’enchanter
De nos … (Continuer)

Tu ne crains la fureur de ma plume animée,
Pensant que je n’ai rien à dire contre toi,
Sinon ce que ta rage a vomi … (Continuer)

Astres cruels, et vous dieux inhumains,
Ciel envieux, et marâtre nature,
Soit que par ordre ou soit qu’à l’aventure
Voise le cours des affaires humains,… (Continuer)

Sonnet

Serf de Faveur, esclave d’Avarice,
Tu n’eus jamais sur toimême pouvoir,
Et je me veux d’un tel maître pourvoir
Que l’Esprit libre en plaisir … (Continuer)

Si celui qui s’apprête à faire un long voyage
Doit croire celuilà qui a jà voyagé,
Et qui des flots marins longuement outragé,
Tout moite … (Continuer)

Sonnet LXXI.

Ce brave qui se croit, pour un jaque de maille,
Être un second Roland, ce dissimulateur,
Qui superbe aux amis, aux ennemis flatteur,… (Continuer)

Sonnet CX.

Quand mon Caraciol de leur prison desserre
Mars, les vents et l’hiver : une ardente fureur,
Une fière tempête, une tremblante horreur
Ames, … (Continuer)

Sonnet CXXVIII.

Ce n’est pas de mon gré, Carle, que mon navire
Erre en la mer thyrenne : un vent impétueux
Le chasse malgré moi … (Continuer)

Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage,
Ce n’est l’air des Latins, ni le mont Palatin,
Qui ores, mon Ronsard, me fait parler latin,… (Continuer)