Si j’avais, sous ma mantille,
Cet œil gris de lin,
Et cette svelte cheville
Dans mon svelte brodequin ;
Si j’avais ta morbidesse,
Tes cheveux … (Continuer)
Laisser un CommentaireDécouvrez la richesse de la poésie française
Accueil » Poètes » Jules Barbey d Aurevilly
Une sélection de poèmes de Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889), écrivain normand célèbre pour ses œuvres romantiques et son style dandy unique.
Si j’avais, sous ma mantille,
Cet œil gris de lin,
Et cette svelte cheville
Dans mon svelte brodequin ;
Si j’avais ta morbidesse,
Tes cheveux … (Continuer)
Laisser un Commentaire« Oh ! pourquoi voyager ? » as-tu dit. C’est que l’âme
Se prend de longs ennuis et partout et toujours ;
C’est qu’il est … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ la baronne de B…
Allons ! bel oiseau bleu, venez chanter
votre romance à Madame…
Suzanne.
« Vous ne mettrez jamais dans votre
« … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ la comtesse de P…
Seulement !…
Si mon cœur faisait ses mémoires
Je crois que j’y mettrais ceci :
« Elle avait des dentelles … (Continuer)
Laisser un CommentaireEn lui envoyant la Bague d’Annibal
Poète de cape et d’épée
À qui n’a jamais résisté
Ni la Muse ni la Beauté,
Ni la Grâce … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Mademoiselle Louise Read.
Un soir, j’étais debout, auprès d’une fenêtre…
Contre la vitre en feu j’avais mon front songeur,
Et je voyais, là-bas, lentement … (Continuer)
Laisser un CommentaireTe souviens-tu du soir, où près de la fenêtre
Ouverte d’un salon plein de joyeux ébats,
Tu n’avais pas seize ans… les avais-tu ?… peut-être…… (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Léon Ostrowski.
C’était un fier oiseau, farouche et solitaire,
Au bec crochu d’or pâle, aux pieds d’ambre, à l’œil clair,
Arraché tout vivant au … (Continuer)
Laisser un CommentaireOh ! comme tu vieillis ! tu n’en es pas moins belle ;
Ton front au poids des ans refuse de fléchir.
La rose de … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ M. B.
Vous les connaissez bien ces amants des clairières,
Ces spectres, revenant, de la tombe transis,
Sous la lune bleuâtre et ses pâles … (Continuer)
Laisser un CommentaireElle avait dix-neuf ans. Moi, treize. Elle était belle ;
Moi, laid. Indifférente, ? et moi je me tuais…
Rêveur sombre et brûlant, je me … (Continuer)
Laisser un CommentaireOh ! les yeux adorés ne sont pas ceux qui virent
Qu’on les aimait, ? alors qu’on en mourait tout bas !
Les rêves les … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Armance.
Saigne, saigne, mon cœur… saigne ! je veux sourire.
Ton sang teindra ma lèvre et je cacherai mieux
Dans sa couleur de pourpre … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ ***
Tu t’en vas, — ce n’est pas ta faute.
Tu le crois ton Destin. Il part, et tu le suis…
Le cœur navré, … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe vivais sans cœur, tu vivais sans flamme,
Incomplets, mais faits pour un sort plus beau ;
Tu pris de mes sens, je pris de … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Armance.
Eh quoi ! vous vous plaignez, vous aussi, de la vie !
Vous avez des douleurs, des ennuis, des dégoûts !
Un dard … (Continuer)
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