Tête pâle de ma Chimère
Dont j’ai, sans la comprendre, adoré la pâleur,
Tu joins donc maintenant à ce premier mystère,
Le mystère de ta … (Continuer)
Laisser un CommentaireDécouvrez la richesse de la poésie française
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Une sélection de poèmes de Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889), écrivain normand célèbre pour ses œuvres romantiques et son style dandy unique.
Tête pâle de ma Chimère
Dont j’ai, sans la comprendre, adoré la pâleur,
Tu joins donc maintenant à ce premier mystère,
Le mystère de ta … (Continuer)
Laisser un CommentaireOui ! restons masqués pour le monde !
Il ne vaut pas ce qu’il verrait
Dans notre intimité profonde,
S’il en surprenait le secret !… (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Georges Landry.
Un soir, dans la Sierra, passait Campéador.
Sur sa cuirasse d’or le soleil mirait l’or
Des derniers flamboiements d’une soirée ardente
Et … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Armance.
Vous voulez donc que sur la blanche page,
Fruits d’un arbre flétri, soient écrits quelques vers ?
Oh ! pourquoi votre cœur n’a-t-il … (Continuer)
Laisser un CommentaireA mon grand ami
le comte Roselly de Lorgues
Le Jour meurt, — et la Nuit met le pied sur sa tombe
Avec le noir … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Clary.
Tu ne sais pas, Clary, quand, heureuse, ravie,
Tu me tends ton épaule et ton front tour à tour,
Que dans la double … (Continuer)
Laisser un CommentaireSi tu pleures jamais, que ce soit en silence ;
Si l’on te voit pleurer, essuie au moins tes pleurs !
Car tu ne peux … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe pris pour maître, un jour, une rude maîtresse,
Plus fauve qu’un jaguar, plus rousse qu’un lion !
Je l’aimais ardemment, âprement, sans tendresse,
Avec … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ qui rêves-tu si tu rêves,
Front bombé que j’adore et voudrais entr’ouvrir,
Entr’ouvrir d’un baiser pénétrant comme un glaive,
Pour voir si c’est à … (Continuer)
Laisser un CommentaireDébouclez-les, vos longs cheveux de soie,
Passez vos mains sur leurs touffes d’anneaux,
Qui, réunis, empêchent qu’on ne voie
Vos longs cils bruns qui font … (Continuer)
Laisser un CommentaireEx imo.
….. C’était dans la ville adorée
Sarcophage pour moi des premiers souvenirs,
Où tout enfant j’avais, en mon âme enivrée
Rêvé ces bonheurs … (Continuer)
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