Catégorie : Jules Laforgue

Encore un livre ; ô nostalgies
Loin de ces trèsgoujates gens,
Loin des saluts et des argents,
Loin de nos phraséologies !

Encore un de … (Continuer)

Je ne tiens que des mois, des journées et des heures….
Dès que je dis oui ! tout feint l’enexil…
Je cause de fidèles demeures,… (Continuer)

Oh ! ce piano, ce cher piano,
Qui jamais, jamais ne s’arrête,
Oh ! ce piano qui geint làhaut
Et qui s’entête sur ma tête … (Continuer)

Je me souviens, dis, rêvé ce bal blanc ?
Une, en robe rose et les joues en feu,
M’a tout ce soirlà dévoré des yeux,… (Continuer)

Ah ! ce soir, j’ai le coeur mal, le coeur à la Lune !
Ô Nappes du silence, étalez vos lagunes ;
Ô toits, terrasses, … (Continuer)

Maquillés d’abandon, les manches
En saule, ils leur font des serments,
Pour être vrais trop véhéments !
Puis, tumultuent en gigues blanches,

Beuglant : Ange … (Continuer)

Chut ! Oh ! ce soir, comme elle est près !
Vrai, je ne sais ce qu’elle pense,
Me feraitelle des avances ?
Estce là … (Continuer)

Lune, Pape abortif à l’amiable, Pape
Des Mormons pour l’art, dans la jalouse Paphos
Où l’Etat tient gratis les fils de la soupape
D’échappement des … (Continuer)

Menez l’âme que les Lettres ont bien nourrie,
Les pianos, les pianos, dans les quartiers aisés !
Premiers soirs, sans pardessus, chaste flânerie,
Aux complaintes … (Continuer)

Blancs enfants de choeur de la Lune,
Et lunologues éminents,
Leur Église ouvre à tout venant,
Claire d’ailleurs comme pas une.

Ils disent, d’un oeil … (Continuer)

Je suis la Gondole enfant chérie
Qui arrive à la fin de la fête,
Pour je ne sais quoi, par bouderie,
(Un soir trop beau … (Continuer)

Tout, paysage affligé de tuberculose,
Bâillonné de glaçons au rire des écluses,
Et la bise soufflant de sa pécore emphase
Sur le soleil qui s’agonise… (Continuer)

Penser qu’on vivra jamais dans cet astre,
Parfois me flanque un coup dans l’épigastre.

Ah ! tout pour toi, Lune, quand tu t’avances
Aux soirs … (Continuer)

Oh ! qu’une, d’Ellemême, un beau soir, sût venir,
Ne voyant que boire à Mes Lèvres ! où mourir….

Je m’enlève rien que d’y penser … (Continuer)

Les mains dans les poches,
Le long de la route,
J’écoute
Mille cloches
Chantant : ‘ les temps sont proches ;
‘ Sans que tu … (Continuer)

Et je me console avec la
Bonne fortune
De l’alme Lune.
Ô Lune, Ave Paris stella !

Tu sais si la femme est cramponne ;… (Continuer)