Catégorie : Jules Laforgue

Ô virtuosités à deux et, vrai ! si seules,
Êtesvous bien la clef des havres de l’Oubli?
Ou nous fautil tourner à mort la grise … (Continuer)

Ah ! sans Lune, quelles nuits blanches,
Quels cauchemars pleins de talent !
Voisje pas là nos cygnes blancs ?
Vienton pas de tourner la … (Continuer)

Le premier jour, je bois leurs yeux ennuyés….
Je baiserais leurs pieds,
À mort. Ah ! qu’elles daignent
Prendre mon coeur qui saigne !
Puis, … (Continuer)

Octobre m’a toujours fiché dans la détresse ;
Les Usines, cent goulots fumant vers les ciels….
Les poulardes s’engraissent
Pour Noël.

Oh ! qu’alors, tout … (Continuer)

Astres lointains des soirs, musiques infinies,
Ce Coeur universel ruisselant de douceur
Est le coeur de la Terre et de ses insomnies.
En un pantoum … (Continuer)

Tu dis que mon coeur est à jeun
De quoi jouer tout seul son rôle,
Et que mon regard ne t’enjôle
Qu’avec des infinis d’emprunt … (Continuer)

Oh ! quelle nuit d’étoiles, quelles saturnales !
Oh ! mais des galas inconnus
Dans les annales
Sidérales !
Bref, un Ciel absolument nu !… (Continuer)

Ah ! la Lune, la Lune m’obsède…
Croyezvous qu’il y ait un remède ?

Morte ? Se peutil pas qu’elle dorme
Grise de cosmiques chloroformes … (Continuer)