LA MÈRE JACQUELINE.
La cour était petite, étroite, sale et sombre:
Le corps de la maison y projetait son ombre.
La porte entre-bâillée, au battant … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne sélection de poèmes de Louisa Siefert (1845-1877), poétesse lyonnaise reconnue du 19e siècle. Découvrez ses œuvres lyriques écrites entre Lyon et Pau. #poésiefrançaise #littérature
LA MÈRE JACQUELINE.
La cour était petite, étroite, sale et sombre:
Le corps de la maison y projetait son ombre.
La porte entre-bâillée, au battant … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe sais l’art d’évoquer les minutes heureuses.
Charles Baudelaire.
Pourquoi revenez-vous creuser mon souvenir,
Ô jours trop tôt perdus, ô trop chères pensées,
Images que … (Continuer)
Laisser un CommentaireCar ils savent qu’ils vont au rivage éternel.
Sainte-Beuve.
Chancelants & courbés sous le poids des années,
Par l’ouragan d’hiver plantes déracinées,
Ils sont vieux … (Continuer)
Laisser un CommentaireMorte ! oh ! serait-il vrai ? Morte, pleine de vie !
A son calme avenir quel mal l’a donc ravie ?
Qui donc l’a … (Continuer)
Laisser un CommentaireSi je veux abuser mon cœur
D’une autre image que la sienne,
Peu à peu, tristement moqueur,
Il retrace l’image ancienne.
C’est un pêle-mêle inouï,… (Continuer)
Enfin j’ai cédé, je me plie
Encor cette fois sous ta main.
Ta volonté s’est accomplie :
Me voilà hors de ton chemin.
Pourtant, parce … (Continuer)
I
« Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère
tout, elle supporte tout. »
I Corinthiens, XIII, 7.
La grand’mère s’était assise, avait tiré… (Continuer)
Aimer, c’est la moitié de croire.
Victor Hugo
Les rideaux sont baissés & la porte est fermée :
Un seul rayon perdu glisse furtivement,
Et … (Continuer)
Laisser un CommentaireHé bien ! j’ai triomphé, l’on m’a fort applaudie,
J’ai su rire, chanter, jouer la comédie,
Être jeune une fois et répondre à chacun,
Sur … (Continuer)
Laisser un CommentaireRien ne finit, rien ne commence,
Ce n’est ni la nuit ni le jour.
LECONTE DE LISLE
Sur le ciel gris rosé l’extrémité des branches… (Continuer)
Discrets, furtifs et solitaires,
Où menez-vous, petits chemins ?
Vous qu’on voit, pleins de frais mystères,
Vous cachant aux regards humains.
Où menez-vous, petits chemins… (Continuer)
L’étoile a des frissons dans la sphère divine.
HENRY MURGER
L’eau pleure au clair bassin des larmes de cristal,
Le pré s’est revêtu d’une robe … (Continuer)
Laisser un CommentaireQu’il était fatigué ce soir
Au moment de son arrivée !
À mes côtés il vint s’asseoir ;
Sa journée était achevée.
Je lui dirais … (Continuer)
Qu’écrire ? Vierge encor la page est sous mes doigts,
Prête à tout elle attend mon caprice. — Autrefois
La chantante élégie en mon cœur … (Continuer)
Laisser un CommentaireAu clair soleil de la jeunesse,
Pauvre enfant d’été, moi, j’ai cru.
Estil sûr qu’un jour tout renaisse,
Après que tout a disparu ?
Pauvre … (Continuer)
Laisser un CommentaireEn vain elle s’est dit que la campagne est belle.
Sainte-Beuve.
Non, plus pour aujourd’hui, plus de grandes pensées,
De saintes questions à la hâte … (Continuer)
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