Ô belle Noémie, approche, embrassemoi,
Et ne m’allègue plus ma sainte ardeur éprise,
Disant que je m’en aille à Théophile exquise
A qui j’offris mes … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Ô belle Noémie, approche, embrassemoi,
Et ne m’allègue plus ma sainte ardeur éprise,
Disant que je m’en aille à Théophile exquise
A qui j’offris mes … (Continuer)
Sur ses ailes, Amour, d’un vol plein de vitesse,
Sans donner à mon âme un moment de repos,
Plus vite qu’un dauphin qui traverse les … (Continuer)
La honte à l’oeil baissé ne me fera point taire,
Je ne craindrai l’orgueil du causeur affeté,
Je ne me cacherai pour n’être fréquenté,
Laissant … (Continuer)
Ha Dieu ! que j’ai de bien alors que je baisotte
Ma jeune folion dedans un riche lit
Ha Dieu ! que j’ai de bien … (Continuer)
Quoi ! qu’estce que ceci ? ma mignonne, estu folle ?
Ne te moquestu point ? pensestu apaiser
L’audace de mon feu par un simple … (Continuer)
Ton poil, ton oeil, ta main, crêpé, astré, polie,
Si blond, si bluettant, si blanche, alme beauté,
Noue, ard, touche mes ans, mes sens, ma … (Continuer)
Si les pleurs douloureux, si les tristes complaintes,
Si les mortels sanglots, si les regrets cuisants,
Si les fières fiertés, si les ennuis nuisants,
Si … (Continuer)
S’habiller bravement, s’ombrer de fards menteurs,
D’un mauvais mot nous feindre une éloquence,
Apprendre à bégayer, n’aller qu’à révérence,
Et n’être aucunement sans servants serviteurs,… (Continuer)
Je l’oeilladais minue, échevelée,
Par un pertuis dérobé finement,
Mon coeur battait d’un tel débattement
Qu’on m’eût jugé comme en peur déréglée.
Or’ j’étais plein … (Continuer)
Laisser un CommentaireCousinons la cousine, elle est cointe et jolie,
Elle aime à cousiner, et ne refuse rien
Au cousin cousinant, qui la cousine bien,
Car il … (Continuer)