Le sable et les arbres jouaient
A m’égarer
Le vent et les oiseaux jouaient au plus léger
Plaisir des dunes
Une canne de jonc
Une … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Le sable et les arbres jouaient
A m’égarer
Le vent et les oiseaux jouaient au plus léger
Plaisir des dunes
Une canne de jonc
Une … (Continuer)
Comme parle et se tait une fille des hommes
Comme de grands secrets sont formés par son corps
Quel étrange plaisir, à cette heure où … (Continuer)
Amour, je ne viens pas dénouer vos cheveux.
Déserte, toute armée, inutile étrangère,
Je vous laisse debout dans un peu de lumière
Et je garde … (Continuer)
Ah ! ne me soyez plus, orgueil, d’aucun secours.
Cet hiver épuisant me laisse trop sincère
et j’ordonne avant tout une force sévère
à mon … (Continuer)
Je ne suis pas parti
ma chambre m’a vaincu.
Pourquoi si durement
aimetelle ce corps ?
Pourquoi clouer au mur
mes coudes prisonniers ?
Et … (Continuer)
I
Muse, rappelletoi l’enfant aux genoux maigres
que nous vîmes, gonflés de rancune et d’amour,
prendre nonchalamment le chemin du retour
sous mille arbres blessés … (Continuer)
A la limite de la lumière et de l’ombre
Je remue un trésor plus fuyant que le sable
Je cherche ma chanson parmi les bruits … (Continuer)
Je fis ce masque pour mes frères
Avec l’or que j’avais volé
(Dieu des chanteurs, ami sévère)
A ma vieille sincérité.
Que leurs dédains m’ont … (Continuer)
Laisser un CommentaireA Marcel Arland
Que m’importe de vivre heureux, silencieux,
Un nuage doré pour maison, pour patrie.
Je caresse au hasard le corps de mon amie,… (Continuer)
J’ai abîmé l’enfant de votre coeur
(Y fallaitil cette présence triste ?)
Mais, évadé, sourire sans grandeur,
Comment prouver que tout ce Monde existe ?… (Continuer)
Sortons. J’ai entendu des Dryades profondes,
Lamentantes redire aux hommes de l’été
(Comme de grandes eaux amoureuses qui grondent)
Quel amour il faudrait à leur … (Continuer)
Écoutezmoi si vous m’aimez :
Je suis sauvé lorsque je chante ;
Et toi, surtout, que j’ai formé
De ma plus douce voix vivante :… (Continuer)
Ton visage est le mot de la nuit étoilée
Un ciel obscur s’ouvre lentement dans tes bras
Où le plaisir plus vain que la flamme … (Continuer)
Je vivais au milieu de choses mal unies,
Demandant au hasard de diriger mes pas.
Je mettais à mon dieu le masque des folies
Et … (Continuer)
Ô corps tout secoué de prochaines musiques !
Lié contre la table où pèse ton sang noir,
laissetoi transporter d’un rire dramatique
et de honteuse … (Continuer)
Je t’offre un verre d’eau glacée
N’y touche pas distraitement
Il est le prix d’une pensée
Sans ornement
Tous les plaisirs de l’amitié
Combien cette … (Continuer)
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