Catégorie : Odilon-Jean Perier

Les fontaines ornées d’écume et d’armes blanches
Les fontaines, ce soir, parlent à haute voix

La vitre des cafés
Murmure, où la buée, les baisers … (Continuer)

La Ville est dans ma chambre
Ce fauteuil est un port.
Avezvous vu mes lampes
Mes mâts et mes bateaux ?

Le tabac et les … (Continuer)

Joie ardente, corps nouveau
Hors des vagues de la danse
Vive enfin ta violence
Ton orgueil et tes sursauts !

Ah, mon plaisir ! Il … (Continuer)

Je ne chanterai pas très haut ni très longtemps.
C’est à mon plaisir seul, à vous que je m’attends
Égalité du coeur, honnête poésie.
Je … (Continuer)

Ma chambre garde au coeur une vertu glacée ;
ce soir d’hiver je suis son plus rude ennemi.
Mais je puise une faim de victoire … (Continuer)

A René Purnal

Les mains dans le brouillard et mon orgueil en bouche
Comme une bête tient sa proie ou ses petits,
Je respire, je … (Continuer)

La vie est simple. Je dis
Que nous ignorons sa grâce,
Masque transparent, visage
Ridicule, tu souris.

Toi, frère des champs, merci :
La vie … (Continuer)

Grande bête dorée, Amour couleur de femme
Les bras ouverts, debout au milieu du chemin
Que faitesvous de moi dans cette blanche flamme ?
Soutiendraisje … (Continuer)

Tu ne t’es plus, Seigneur, assis à cette table.
Aussi impatient de passer que le sable,
parce que je suis seul je parle du bonheur.… (Continuer)