Fable III, Livre II.
À ma femme Sophie.
Que j’aime le colin-maillard !
C’est le jeu de la ville et celui du village ;
Il … (Continuer)
Fable III, Livre II.
À ma femme Sophie.
Que j’aime le colin-maillard !
C’est le jeu de la ville et celui du village ;
Il … (Continuer)
A chaque fois que la neige tombe,
Je crois voir un ange
sur un fil transparent.
La danse de cette délicate créature
est différente chaque … (Continuer)
Par crainte, erreur ou poésie
Nous compliquons tout à plaisir ;
Les éclairs de la jalousie,
Les prismes de la fantaisie
Font tout mal voir … (Continuer)
Nous fûmes dupes, vous et moi,
De manigances mutuelles,
Madame, à cause de l’émoi
Dont l’Été férut nos cervelles.
Le Printemps avait bien un peu… (Continuer)
Laisser un CommentaireStupéfaite
Sur la place où le crépuscule sombre
Conduite par deux menus bassets tirant sur leur laisse
Elle cherche
Le long des façades
Une fenêtre … (Continuer)
Laisser un CommentaireQue me veuxtu, chère fleurette,
Aimable et charmant souvenir ?
Demimorte et demicoquette,
Jusqu’à moi qui te fait venir ?
Sous ce cachet enveloppée,
Tu … (Continuer)
M’a dit la pluie : Écoute
Ce que chante ma goutte,
Ma goutte au chant perlé.
Et la goutte qui chante
M’a dis ce chant … (Continuer)
À Édouard Leconte.
Au coucher du soleil, toute la forêt semble
Dans le recueillement : touffes de chênes roux,
Petits genévriers, maigres buissons de houx, … (Continuer)
A EPHRAÏM MIKHAËL.
Par les vastes forêts, à l’heure vespérale,
Les ruisseaux endormeurs modulent leurs sanglots :
Mon âme s’alanguit d’une horreur sépulcrale
A l’heure … (Continuer)
Si tu te heurtes aux murs de chair
Si tes mots sombrent avant de naître
Que ton sang agrippe tes os
Que ton œil perd … (Continuer)
L’amour aux magnifiques flammes
Dirige la nef sur les flots,
Et c’est encor l’amour qui rame
Avec le cœur des matelots ;
Tout autour du … (Continuer)
Il y a paraît-il
dans une roseraie une rose
qu’on appelle
Veuve inconsolable du regretté
Président
Doumergue c’est triste c’est regrettable il y a ou … (Continuer)
(En lui envoyant les Amour de Psyché.)
Lisez et relisez, ma sœur,
De Psyché l’admirable histoire :
Vous y verrez que le bonheur
N’est pas … (Continuer)
Quand ne chante plus le grillon
Et qu’on est avant dans l’automne,
Quelque matin gris l’on s’étonne
De voir un dernier papillon.
Plus d’or, d’azur, … (Continuer)
I
Du fer, du feu, du sang ! C’est elle ! c’est la Guerre
Debout, le bras levé, superbe en sa colère,
Animant le combat … (Continuer)
Si celui qui s’apprête à faire un long voyage
Doit croire celuilà qui a jà voyagé,
Et qui des flots marins longuement outragé,
Tout moite … (Continuer)