Au bord de l’automne
Je suppute comme un joueur malchanceux
La chance horrible et la solitude qui monte en
rumeur avec le vent de l’équinoxe… (Continuer)
Laisser un CommentaireAu bord de l’automne
Je suppute comme un joueur malchanceux
La chance horrible et la solitude qui monte en
rumeur avec le vent de l’équinoxe… (Continuer)
Laisser un CommentaireDu wagon sombre où rien ne bouge, où rien ne luit,
Las des rêves, mauvais compagnons pour la nuit,
Le voyageur, avec le jour, cherchant … (Continuer)
Cri du coq
Chant du cygne de la nuit
Monocorde et fastidieux message
Qui me crie
Aujourd’hui ça recommence
Aujourd’hui encore aujourd’hui
Je n’entends pas … (Continuer)
Laisser un CommentaireLaissez, ne troublez pas l’heure qui m’est donnée ;
Que je puisse au bonheur reprendre un peu de foi !
Innombrables liens dont ma vie … (Continuer)
Le printemps me plaît… J’erre avec délices
Dans les champs joyeux, avec les moineaux ;
Je contemple tout : les riches calices,
Les insectes d’or … (Continuer)
Sous un ruisseau de ciel où tend une guitare
Briseuse de ténèbre au vieux
Gênes secret,
Je monte vers le port offert de
Miramare
Où … (Continuer)
Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance,
Car tu m’as déchargé du faix de mes douleurs,
Tu as éteint ma flamme et chassé mes … (Continuer)
L’oiseau qui chante dans ma tête
Et me répète que je t’aime
Et me répète que tu m’aimes
L’oiseau au fastidieux refrain
Je le tuerai … (Continuer)
De mon sang exhalé toute l’humeur périe
Me laisse desséché, et l’esprit de mon coeur
Éteint par trop d’ennui, me pousse en ma douleur
Aux … (Continuer)
Durant les longs étés, quand la terre altérée
Semble se soulever, blanchie et déchirée,
Pour chercher vainement un souffle de fraîcheur
Qui soulage en passant … (Continuer)
Moi. c’est
Nous
Ubiquités.
Qu’à genoux
L’on médite.
Nous qui sommes –
O pur
Miel -La personne
Du pluriel.
Sus. donc plèbes
Exhortez
Nos éphèbes… (Continuer)
Laisser un CommentaireCe doit être bon de mourir,
D’expirer, oui, de rendre l’âme,
De voir enfin les cieux s’ouvrir ;
Oui, bon de rejeter sa flamme
Hors … (Continuer)
(D’après la chanson de Guilleri-Guilloré)
Mon bien-aimé descend la colline fleurie
De blé noir,
Très lentement par les champs pâles… C’est le soir.
Voilà mon … (Continuer)
Menez l’âme que les Lettres ont bien nourrie,
Les pianos, les pianos, dans les quartiers aisés !
Premiers soirs, sans pardessus, chaste flânerie,
Aux complaintes … (Continuer)
Depuis l’âge orageux des aurores premières
Où tout un ciel pleuvait sur un monde naissant,
Suivi d’un infini cortège de rivières,
Au large, à plein … (Continuer)
O Madonna Mona Lisa Mamma mia bellissima
Signorina per piacere grazie tante dopo di lei
Antipasti torinesi tagliatelle bolognese
Scaloppine saltimbocche gorgonzola provolone
Panettone parmigiano … (Continuer)