… kallísphuron Ocheanínaen
Ægágeto Kluménaen…
Hésiode, Théogonie.
L’Aurore enveloppait dans une clarté rose
Le vallon gracieux que le Pénée arrose,
Et les arbres touffus, et … (Continuer)
Laisser un CommentaireHé bien ! je consens de mourir.
Aussi bien l’espoir de guerir
Me flateroit en vain des douceurs de la vie.
Je n’ay plus qu’un … (Continuer)
« — Viens, laisse-là ces morts, lui disait Michel-Ange, »
Et son doigt dédaigneux montrait le Jugement ;
« Sur ces murs où tout passe, … (Continuer)
… Voilà le banc rustique où s’asseyait mon père,
La salle où résonnait sa voix mâle et sévère,
Quand les pasteurs assis sur leurs socs … (Continuer)
des terres qui sautent très haut
pas assez cependant pour que leurs pieds ne restent pris au pécule de la mer mugissant son assaut de … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa pâle nuit d’automne
De ténèbres couronne
Le front gris du manoir ;
Morne et silencieuse,
L’ombre s’assied, rêveuse,
Sous le vieux sapin noir.
Au … (Continuer)
Laisser un CommentaireIl est un nom caché dans l’ombre de mon âme,
Que j’y lis nuit et jour et qu’aucun oeil n’y voit,
Comme un anneau perdu … (Continuer)
Enfin le printemps nous donne
Sa couronne,
Et ses parfums précieux ;
Enfin parmi les prairies
Refleuries
S’égarent nos pas joyeux.
Vois à travers le … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe marche vers la mer… Elle respire encore :
Son souffle se faufile en caressant la dune
Où parfois, je recueille une larme de lune.… (Continuer)
Laisser un CommentaireMais maintenant vient une femme,
Et lors voici qu’on va aimer,
Mais maintenant vient une femme
Et lors voici qu’on va pleurer,
Et puis qu’on … (Continuer)
Laisser un CommentaireDepuis un temps difforme, imprécis et mauvais,
On subissait le poids du malheur, on savait
Que du soi de jadis on n’était plus que l’ombre,… (Continuer)
Sonnet CX.
Quand mon Caraciol de leur prison desserre
Mars, les vents et l’hiver : une ardente fureur,
Une fière tempête, une tremblante horreur
Ames, … (Continuer)
Le
Vestiaire
Le
Portemanteau
La lumière
Au mur des têtes inclinées
Un rayon d’électricité
La voix qui chante
Un cœur qui s’est ouvert
Dans la … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa voix qui retentit de l’un à l’autre Pole,
La terreur et l’espoir des vivans et des morts,
Qui du rien sçait tirer les esprits … (Continuer)
Si je meurs, qu’aille ma veuve
à Javel près de Citron.
Dans un bistrot elle y trouve,
à l’enseigne du Beau Brun,
Trois musicos de … (Continuer)