Dans la ville il n’y a plus personne
On monte à travers les bois
Quelques-uns tombent
Et ceux qui arriveront trop tard
C’est toi
C’est … (Continuer)
Dans la ville il n’y a plus personne
On monte à travers les bois
Quelques-uns tombent
Et ceux qui arriveront trop tard
C’est toi
C’est … (Continuer)
Toujours ce souvenir m’attendrit et me touche,
Quand luimême, appliquant la flûte sur ma bouche,
Riant et m’asseyant sur lui, près de son coeur,
M’appelait … (Continuer)
Madame et Pauline Roland,
Charlotte, Théroigne, Lucile,
Presque Jeanne d’Arc, étoilant
Le front de la foule imbécile,
Nom des cieux, cœur divin qu’exile
Cette espèce … (Continuer)
Nuit stigmate fourchu
nuit buisson télégraphique planté dans l’océan
pour minutieuses amours de cétacés
nuit fermée
pourrissoir splendide
où de toutes ses forces de tous … (Continuer)
Laisser un CommentaireÔ beaux yeux bruns, ô regards détournés
Ô chauds soupirs, ô larmes épandues,
Ô noires nuits vainement attendues
Ô jours luisants vainement retournés !
Ô … (Continuer)
Laisser un CommentaireC’est un pays très loin on ne sait pas où c’est tout ce qu’on sait c’est que les plantes vertes sont plus vertes qu’ailleurs et … (Continuer)
Laisser un CommentaireChanson.
On entend au loin la chanson des merles ;
Ô ménétrier ! prends ton violon.
Les gais rossignols égrènent des perles ;
Quel beau … (Continuer)
Oh ! peindre tes cheveux du bleu de la fumée,
Ta peau dorée et d’un ton tel qu’on croit voir presque
Une rose brûlée ! … (Continuer)
Pendus, égorgés, empoisonnés,
Voici la foule des suicidés :
Le chemin se hérisse, il a la chair de poule.
Poignardés, noyés, précipités,
Brisés par les … (Continuer)
Laisser un CommentairePoulpe, oh, regarde-moi! dit l’homme devant son miroir en balançant les bras, en agitant les mains, en frissonnant des doigts.
Poulpe au regard de soi, … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’homme a conquis la terre ardente des lions
Et celle des venins et celle des reptiles,
Et troublé l’Océan où cinglent les nautiles
Du sillage … (Continuer)
À madame Hector Calot.
I.
À mi-juin, quand les fruits rougissent dans nos bois,
Pour le bec des oiseaux quand la cerise est mûre,
Le … (Continuer)
A Paul Poujaud.
La confusion morose
Qui me servait de sommeil,
Se dissipe dès la rose
Apparence du soleil.
Dans mon âme je m’avance,
Tout … (Continuer)
Laisser un CommentaireOctobre glorieux sourit à la nature.
On dirait que l’été ranime les buissons.
Un vent frais, que l’odeur des bois fanés sature,
Sur l’herbe et … (Continuer)
Nous étions, ce soirlà, sous un chêne superbe
(Un chêne qui n’était peutêtre qu’un tilleul)
Et j’avais, pour me mettre à vos genoux dans l’herbe,… (Continuer)
Entre nous
cette brûlure
quand nos mains sont enchaînées
Entre nous
cette soif
quand l’eau multiplie la soif
Entre nous
le désir qui sépare
Voici … (Continuer)
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