Puisque ce soir, onze décembre
Mil huit cent soixante-un, je n’ai
Qu’à rouler le chapelet d’ambre
D’un rêve cent fois égrené,
Les pieds au feu, … (Continuer)
Laisser un CommentairePuisque ce soir, onze décembre
Mil huit cent soixante-un, je n’ai
Qu’à rouler le chapelet d’ambre
D’un rêve cent fois égrené,
Les pieds au feu, … (Continuer)
Laisser un CommentaireOn s’imagine
souvent que les nombres
sont blancs et froids
comme des cristaux de neige
et que les mathématiciens
skient sur leurs pentes
en respirant … (Continuer)
Non, n’ouvre pas cette porte.
Ca donne sur l’océan…
Ca donne sur des cloportes…
Pas compris ?
Sur le néant !
Après ça. c’est difficile… (Continuer)
Vous à qui des fraisches vallees
Pour moy si durement gelees
Ouvrent les fontaines de vers,
Vous qui pouvez mettre en peinture
Le grand object … (Continuer)
Un Philosophe austère, et né dans la Scythie,
Se proposant de suivre une plus douce vie,
Voyagea chez les Grecs, et vit en certains lieux… (Continuer)
Les racines du vent se glissent dans un cœur se nourrissent d’un sang encore embué de nuit et ramènent au jour ombragé de douleur un … (Continuer)
Laisser un CommentaireCe n’est pas tout que commencer,
Il faut voir si la fin est bonne
Car lors n’est pas temps d’y penser,
L’oeuvre par la fin … (Continuer)
Les étoiles brillaient encore :
A peine un jour faible et douteux
Ouvre la paupière de Flore,
Qui, dans ses bras voluptueux,
Retient l’inconstant qu’elle … (Continuer)
Rondeau frivole, où ma rime dorée
Vient célébrer une femme adorée,
Dis ses attraits dont s’affole chacun,
Et ses cheveux pleins d’un si doux parfum,… (Continuer)
Laisser un CommentaireÉtranges étrangers
Kabyles de la
Chapelle et des quais de
Javel
hommes des pays loin
cobayes des colonies
doux petits musiciens
soleils adolescents de la … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’un chante les amours de la trop belle Hélène,
L’un veut le nom d’Hector par le monde semer,
Et l’autre par les flots de la … (Continuer)
II.
Le jour s’enfuit des cieux ; sous leur transparent voile
De moments en moments se hasarde une étoile ;
La nuit, pas à pas, … (Continuer)
Maître très cher, s’il vous plaît,
Écoutez ma patenôtre.
Voici ma « Payse » : elle est
Bien peu digne de la vôtre.
Celle que … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans le Vide éternel interrompant son rêve,
L’Être unique, le grand Taaroa se lève.
Il se lève, et regarde : il est seul, rien ne … (Continuer)
À Benjamin Péret
Si tu chantes La Marseillaise
pourquoi faut-il qu’il te déplaise
de la chanter sur l’air de complainte sensible
de tel petit navire … (Continuer)
Laisser un CommentaireEcoutez la chanson bien douce
Qui ne pleure que pour vous plaire,
Elle est discrète, elle est légère :
Un frisson d’eau sur de la … (Continuer)