Cette rouge sueur goutte à goutte roulante
Du corps de cet athlète en ce rude combat
Peut être comparée à cette eau douce et lente… (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Cette rouge sueur goutte à goutte roulante
Du corps de cet athlète en ce rude combat
Peut être comparée à cette eau douce et lente… (Continuer)
J’ai tué la petite bête noire qui chantait comme un
grelot
Je suis voué à la réprobation
J’ai supprimé la Vie
D’un coup de talon … (Continuer)
Laisser un CommentaireSur ces paroles de saint Paul : Cupio dissolvi et esse cum Christo
Je vis, mais c’est hors de moimême ;
Je vis, mais c’est … (Continuer)
Kléarista s’en vient par les blés onduleux
Avec ses noirs sourcils arqués sur ses yeux bleus,
Son front étroit coupé de fines bandelettes,
Et, sur … (Continuer)
Gare de la douleur j’ai fait toutes tes routes.
Je ne peux plus aller, je ne peux plus partir.
J’ai traîné sous tes ciels, j’ai … (Continuer)
Laisser un CommentaireTant pis, j’aime le piano!
Mon maître, au fond de la Scythie
Fort connu, comme à Landerneau,
Aimait l’araignée et l’ortie.
Et pourquoi? Parce qu’on … (Continuer)
Amants et séducteurs de belles imprudentes
Dans les chambres perdues passagers d’une nuit,
Le sort aux mille doigts vous indique la plante
Qui grimpe son … (Continuer)
Laisser un CommentaireOui, l’Anio murmure encore
Le doux nom de Cynthie aux rochers de Tibur,
Vaucluse a retenu le nom chéri de Laure,
Et Ferrare au siècle … (Continuer)
Les cristaux dans la ruche ont fait mauvais ménage
Négligeant les patins des traqueurs de cerceaux
Et la nuit où surgit cet étrange carnage
Une … (Continuer)
Petit piqueton de Mareuil,
Plus clairet qu’un vin d’Argenteuil,
Que ta saveur est souveraine !
Les Romains ne t’ont pas compris
Lorsqu’habitant l’ancien Paris
Ils … (Continuer)
Dans le coin où elle s’est blottie
Tristesse ou vide
Le vent tourne
On entend un cri
Personne n’a voulu se plaindre
Mais la lampe … (Continuer)
Laisser un CommentaireDu temps a passé sur les braises et les
On a remis les dieux aux calendes sans penser qu’ils n’étaient que flambeaux pour irriter le … (Continuer)
Tu pars !… deux jours hélas, et tu n’es plus pour nous
Qu’un de ces souvenirs solitaires et doux
Dont le cœur s’empare en silence. … (Continuer)
Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage,
Ce n’est l’air des Latins, ni le mont Palatin,
Qui ores, mon Ronsard, me fait parler latin,… (Continuer)
Comment je l’imagine ?
Eh bien, je ne sais pas…
Peutêtre enfant, très blonde, et tenant dans ses bras
Des branches de glycine ?
Peutêtre … (Continuer)
Laisser un CommentaireIl est tombé, l’arbre au vaste feuillage,
Il est tombé le vieux roi du coteau !
Ô mes amis ! qu’un regret, qu’un hommage,
Suive … (Continuer)