Une niche
Un nombre
Une troupe d’hommes
Tout le bout est là
On n’avance plus
Un astre rayonne
Minuit moins le quart
La porte est … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne niche
Un nombre
Une troupe d’hommes
Tout le bout est là
On n’avance plus
Un astre rayonne
Minuit moins le quart
La porte est … (Continuer)
Laisser un CommentaireI
L’art, c’est la gloire et la joie.
Dans la tempête il flamboie ;
Il éclaire le ciel bleu.
L’art, splendeur universelle,
Au front du … (Continuer)
Dans l’allée où l’on va souvent, près du théâtre,
Vous avez admiré la gravité folâtre
Des coucous du pays qu’on prendrait pour un jeu ; … (Continuer)
Il en est de la ferveur comme de la vanité des rêves, ses temples sont bâtis sur les sables du temps, avec la sueur des … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans tous mes rêves c’était vous !
Vous étiez belle,
Et je tombais à vos genoux :
Ou si, rebelle,
Quand vous me donniez un … (Continuer)
J’oublie ma peau.
J’oublie mon corps.
J’oublie mon squelette qui penche.
J’oublie le siècle et le décor,
la journée grise et les nuits blanches.
J’oublie … (Continuer)
Laisser un CommentaireTant que vivrai en âge florissant,
Je servirai Amour, le Dieu puissant,
En faits et dits, en chansons et accords.
Par plusieurs jours m’a tenu … (Continuer)
Ainsi que tous les corps que la nature anime,
Et forme inanimez en ce clos rondissant
Ont leur cause, leur centre, et vont resortissant
Au … (Continuer)
À Grenade
mon aimée
nous étions silencieux
nous marchions dans nos rêves
nous caressions la fourrure de plénitude
À Grenade
tu étais plus douce encore… (Continuer)
Laisser un CommentaireTes pieds sont aussi fins que tes mains, et ta hanche
Est Large à faire envie à la plus belle blanche ;
A l’artiste pensif … (Continuer)
Malheur, malheur à qui dans cette mer profonde
Du coeur de l’homme jette imprudemment la sonde !
Car le plomb bien souvent, au lieu du … (Continuer)
En avant, mes amis ! sus au romantisme !
Voltaire et l’École normale !
Figaro du 30 décembre 1858.
Un tout petit pamphlétaire
Voudrait se … (Continuer)
Laisser un CommentaireIl a plu. Soir de juin. Ecoute,
Par la fenêtre large ouverte,
Tomber le reste de l’averse
De feuille en feuille, goutte à goutte.
C’est … (Continuer)
Laisser un CommentaireEspérez ! espérez ! espérez, misérables !
Pas de deuil infini, pas de maux incurables,
Pas d’enfer éternel !
Les douleurs vont à Dieu, comme … (Continuer)
Depuis que la beauté, laissant tomber ses charmes,
N’a plus offert qu’un marbre à mon désir vainqueur ;
Depuis que j’ai senti mes plus brûlantes … (Continuer)
— Qu’es-tu, passant ? Le bois est sombre,
Les corbeaux volent en grand nombre,
Il va pleuvoir.
— Je suis celui qui va dans l’ombre, … (Continuer)