Celui-là, c’est le cheval qui vit tout seul quelque part très loin dans une ilé.
Il mange un peu d’herbe ; derrière lui, il y … (Continuer)
Laisser un CommentaireCelui-là, c’est le cheval qui vit tout seul quelque part très loin dans une ilé.
Il mange un peu d’herbe ; derrière lui, il y … (Continuer)
Laisser un CommentaireEncore que l’Histoire allègue
Que le grand
Moïse était bègue,
Grand
Saint-Amant, je n’en crois rien,
Puisque dans tes beaux
Vers il s’explique si bien.… (Continuer)
Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,
Il vivait. Il mourut quand il n’eut plus son ange ;
La chose simplement d’ellemême … (Continuer)
Le Babylonien ses hauts murs vantera
Et ses vergers en l’air, de son Ephésienne
La Grèce décrira la fabrique ancienne,
Et le peuple du Nil … (Continuer)
La réalité étant trop épineuse pour mon grand caractère, — je me trouvai néanmoins chez ma dame, en gros oiseau gris bleu s’essorant vers les … (Continuer)
Laisser un CommentaireSonnet.
Maître Laurent Coster, cœur plein de poésie,
Quitte les compagnons qui du matin au soir,
Vignerons de l’esprit, font gémir le pressoir ;
Et … (Continuer)
(IV)
Ève offrait au ciel bleu la sainte nudité ;
Ève blonde admirait l’aube, sa soeur vermeille.
Chair de la femme ! argile idéale ! … (Continuer)
Laisser un CommentaireMains nues frôlent
Un sable chaud
Cœurs galopants
dans les dunes vertigineuses.
Un ciel étonné
s’embrouille avec
l’inclinaison
et la chaleur étouffante
bouleverse cette naissante … (Continuer)
Un bon mari, sa femme et deux jolis enfants
Coulaient en paix leurs jours dans le simple ermitage
Où, paisibles comme eux, vécurent leurs parents.… (Continuer)
Tel que ces fines cassolettes
Des bazars de Smyrne et d’Oran,
Où court en minces bandelettes
Une sourate du Coran :
Du sachet vidé sur … (Continuer)
Laisser un CommentaireToute la mer va vers la ville !
Son port est surmonté d’un million de croix :
Vergues transversales barrant de grands mâts droits.
Son … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe suis bien ignorant, Madame :
Je ne sais si j’ai quatre mains,
Si je n’ai qu’un corps ou qu’une âme,
Ou quatre pieds sur … (Continuer)
Bien que flasque et geignant et si pauvre ! si morne !
Si las! Redressetoi, de toimême vainqueur ;
Lève ta volonté qui choit contre … (Continuer)
Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin,
Qui, tel qu’un voyageur qui part de grand matin,
Se réveille, l’esprit rempli de rêverie,
Et, dès l’aube du … (Continuer)
Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures
Les persiennes, abri des secrètes luxures,
Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés
Sur la … (Continuer)
La feuille vole cachant l’ombre
Un jour de plus vient s’ajouter au nombre
Les passants arrêtés à l’étage au-dessus
Quelqu’un descend
L’araignée monte
Ou la … (Continuer)
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