Trône de fleurs, lit de verdure,
Gazon planté par les amours,
Recevez l’onde fraîche et pure
Que ma main vous doit tous les jours.
Couronnez-vous … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Trône de fleurs, lit de verdure,
Gazon planté par les amours,
Recevez l’onde fraîche et pure
Que ma main vous doit tous les jours.
Couronnez-vous … (Continuer)
Notre-Dame est bien vieille : on la verra peut-être
Enterrer cependant Paris qu’elle a vu naître ;
Mais, dans quelque mille ans, le Temps fera … (Continuer)
Une amoureuse flamme
Consume mes beaux jours ;
Ah ! la paix de mon âme
A donc fui pour toujours !
Son départ, son absence… (Continuer)
Laisser un CommentaireParce que, jargonnant vêpres, jeûne et vigile,
Exploitant Dieu qui rêve au fond du firmament,
Vous avez, au milieu du divin évangile,
Ouvert boutique effrontément … (Continuer)
Certes, une telle mort, ignorée ou connue,
N’importe pas au siècle, et rien n’en diminue ;
On n’en parle pas même et l’on passe à … (Continuer)
Jules, votre château, tour vieille et maison neuve,
Se mire dans la Loire, à l’endroit où le fleuve,
Sous Blois, élargissant son splendide bassin,
Comme … (Continuer)
Étoile de la mer, voici la lourde nef
Où nous ramons tout nuds sous vos commandements ;
Voici notre détresse et nos désarmements ;
Voici … (Continuer)
Laisser un CommentaireC’est un marais dont l’eau dormante
Croupit, couverte d’une mante
Par les nénuphars et les joncs :
Chaque bruit sous leurs nappes glauques
Fait au … (Continuer)
Asseyons-nous tous deux près du chemin,
Sur le vieux banc rongé de moisissures,
Et que je laisse, entre tes deux mains sûres,
Longtemps s’abandonner ma … (Continuer)
Je suis dur comme un juif et têtu comme lui,
Littéral, ne faisant le bien qu’avec ennui,
Quand je le fais, et prêt à tout … (Continuer)
Ballade
La corde nue et maigre,
Grelottant sous le froid
Beffroi,
Criait d’une voix aigre
Qu’on oublie au couvent
L’Avent.
Moines autour d’un cierge,
Le … (Continuer)
De vous gronder je n’ai plus le courage,
Enfants ! ma voix s’enferme trop souvent.
Vous grandissez, impatients d’orage ;
Votre aile s’ouvre, émue au … (Continuer)
Le temps n’a point pâli ta souveraine image :
Telle qu’un jour d’été, jadis, tu m’apparus,
Debout, battant du linge au bord d’un sarcophage,
Je … (Continuer)
Sur la côte du Texas
Entre Mobile et Galveston il y a
Un grand jardin tout plein de roses
Il contient aussi une villa
Qui … (Continuer)
La lune s’enfuit dans la lutte,
entre la nuit et l’aurore.
L’argent de la toile d’araignée
étincelle dans la brume.
Mon ami, mon ami, mon … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’ai vu sur la colline,
Pieds nus, cheveux au vent,
Aline
Qui s’en allait rêvant.
Les roses éphémères
Couronnaient son beau front.
Chimères
Qui s’évanouiront.… (Continuer)