Cette vieille sorcière habitait une hutte,
Accroupie au penchant d’un maigre tertre, en butte
L’été comme l’hiver au choc des quatre vents ;
Le chardon … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Cette vieille sorcière habitait une hutte,
Accroupie au penchant d’un maigre tertre, en butte
L’été comme l’hiver au choc des quatre vents ;
Le chardon … (Continuer)
De la dépouille de nos bois
L’automne avait jonché la terre ;
Le bocage était sans mystère,
Le rossignol était sans voix.
Triste, et mourant … (Continuer)
LXXXI.
Ce bigot qui ses vœux sur son mérite fonde,
Dont le cœur va partout, et n’a l’œil qu’en un lieu,
Honteux n’oseroit dire au … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn pauvre petit diable aussi vaillant qu’un autre,
Quatrième et dernier à bord d’un petit cotre…
Fier d’être matelot et de manger pour rien,
Il … (Continuer)
I.
Cette grandeur des Rois, qui nous semble un Colosse,
N’est qu’ombre, poudre et vent. L’unique honneur des Rois,
D’une exécrable main meurt dedans son … (Continuer)
Laisser un CommentaireSorcière soigneuse
je dis mon adieu
à tous ces objets
que j’époussetais
avec mon cheval
à crins de nylon
sur lequel je vais
m’envoler laver… (Continuer)
Sinite parvulos venire ad me.
JESUS.
Laissez. – Tous ces enfants sont bien là. – Qui vous dit
Que la bulle d’azur que mon souffle … (Continuer)
C’est curieux
Depuis deux jours que nous sommes en vue des terres
aucun oiseau n’est venu à notre rencontre ou se mettre
dans notre sillage… (Continuer)
Nec sum adeo informis !
À M. A. d. B…..
‘ Pourquoi fautil qu’à tous les yeux
‘ Le destin m’ait cachée au sein touffu … (Continuer)
Il y a de grandes flaques de sang sur le monde
où s’en va-t-il tout ce sang répandu
est-ce la terre qui le boit et … (Continuer)
Laisser un CommentairexÀ Maurice de Foucault.
Le soleil fut avant les yeux,
La terre fut avant les roses,
Le chaos avant toutes choses.
Ah ! que … (Continuer)
Source de tout et de Soi-même elle est le centre et l’infini Il jaillit d’elle en un instant un billion d’années-lumière Elle est la nuit … (Continuer)
Laisser un CommentairePetit nombril, que mon penser adore,
Et non mon oeil qui n’eut onques le bien
De te voir nu, et qui mérites bien
Que quelque … (Continuer)
Quand l’être cher vient d’expirer,
On sent obscurément la perte,
On ne peut pas encor pleurer :
La mort présente déconcerte ;
Et ni le … (Continuer)
Laisser un CommentaireNe ferme pas
la porte de cristal
laisse entrer les voyelles de neige
puisque tout est propre à l’horizon
de tes yeux de source pure… (Continuer)
Laisser un CommentaireLes branches en arceaux quand le printemps va naître,
Les ronces sur le mur, le pâturage herbeux,
Les sentiers de mulets, et cet homme champêtre… (Continuer)