Si vous croyez que j’ai l’âme assez abaissée
Pour porter vos dédains sans me lever un jour
Si vous croyez en moi tuer toute pensée,… (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Si vous croyez que j’ai l’âme assez abaissée
Pour porter vos dédains sans me lever un jour
Si vous croyez en moi tuer toute pensée,… (Continuer)
Mais quelle aveugle loi tellement te maîtrise
De prendre un voile noir, égarant tes beaux yeux
Des plaisirs, les plaisirs les plus délicieux,
Pères de … (Continuer)
Me voilà revenu de ce voyage sombre,
Où l’on n’a pour flambeaux et pour astre dans l’ombre
Que les yeux du hibou ;
Comme, après … (Continuer)
La neige – le pays en est tout recouvert –
Déroule, mer sans fin, sa nappe froide et vierge,
Et, du fond des remous, à … (Continuer)
Si natura negat facit indignatio.
L’art supplée quelquefois au défaut de la nature ».
Ainsi l’arbre élevé dans des serres brûlantes,
Préparé, fécondé, par la … (Continuer)
Dans Florence, jadis, vivait un médecin,
Savant hâbleur, dit-on, et célèbre assassin.
Lui seul y fit longtemps la publique misère :
Là, le fils orphelin … (Continuer)
Bats tambour !
Bats tambour !
C’est pour moi le dernier jour :
Quand sonnera la trompette,
Camarades, c’est ma fête,
Adieu, vieux, et demi-tour … (Continuer)
Muse des champs je vous rejoins.
Ouvrez votre aile, mon amie,
nous allons conquérir la pluie
et mille foudres dans les foins.
Ce minuit pâle, … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe garde une médaille d’elle où sont gravés
une date et les mots : prier, croire, espérer.
Mais moi, je vois surtout que la médaille … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa nuit splendide et bleue est un paon étoilé
Aux milliers d’yeux brillants comme des étincelles,
Qui fait la roue et marche, ou vole et … (Continuer)
Ce mai que j’ai planté, belle pour qui j’endure
Et qui trop m’avez fait endurer sans raison,
Quelque chose a de vous : je fais … (Continuer)
Que tu sais bien, Racine, à l’aide d’un acteur,
Emouvoir, étonner, ravir un spectateur !
Jamais Iphigénie en Aulide immolée
N’a coûté tant de pleurs … (Continuer)
Sonnet.
Fors l’amour, tout dans l’art semble à la femme vain :
Le génie auprès d’elle est toujours solitaire.
Orphée allait chantant, suivi d’une panthère, … (Continuer)
Ô Passé, miroir bleuâtre,
Qu’il ne faut pas trop pencher ;
Pauvre drame de théâtre
Qu’on ne peut plus retoucher…
Le jardin avait des arbres… (Continuer)
De mon berceau d’enfant j’ai fait l’autre berceau
Où ma Muse s’endort dans des trilles d’oiseau,
Ma Muse en robe blanche, ô ma toute Maîtresse … (Continuer)
Ne dites pas sur un chemin de pierre
D’épaisses maisons fendues par la culture
Ne dites pas j’ai honte un aigle irrespirable
Vous prendrait à … (Continuer)