(Au Marquis de L.M.F)
Oh ! qui m’emportera vers les tièdes rivages,
Où l’Arno couronné de ses pâles ombrages,
Aux murs des Médicis en sa … (Continuer)
(Au Marquis de L.M.F)
Oh ! qui m’emportera vers les tièdes rivages,
Où l’Arno couronné de ses pâles ombrages,
Aux murs des Médicis en sa … (Continuer)
Sonnet XLIV.
Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse,
Si pour n’avoir d’usure enrichi sa maison,
Si pour n’avoir commis homicide ou trahison,
Si … (Continuer)
Puisqu’icibas toute âme
Donne à quelqu’un
Sa musique, sa flamme,
Ou son parfum ;
Puisqu’ici toute chose
Donne toujours
Son épine ou sa rose
A … (Continuer)
Ni ton sommeil celui du vent. Ni ton repos celui des arbres dans le noir hésitant, quand tâtonne la nuit dans ses ombreuses eaux. Ni … (Continuer)
Laisser un CommentaireSonnet.
Tout à l’heure, sous les éclats
Et les souffles de la tempête,
Le saule brandillait sa tête,
Et l’étang cognait ses bords plats.
Avec … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne nuit, sous la terrible lune
Qui saignait parmi les brumes roses,
Tu parlais, ô soeur, de tristes choses
Comme une enfant prise de rancune.… (Continuer)
Si je n’étais captive,
J’aimerais ce pays,
Et cette mer plaintive,
Et ces champs de maïs,
Et ces astres sans nombre,
Si le long du … (Continuer)
Mon rêve est embarqué sur une île flottante,
Les fils dorés des vents captent, en leurs réseaux,
Son aventure au loin sur la mer éclatante … (Continuer)
Pourquoi crainstu, fille farouche
De me voir nue entre les fleurs ?
Mets une rose sur ta bouche
Et ris avec moins de rougeur.
Ne … (Continuer)
Jeune déesse au teint vermeil,
Que l’Orient révère,
Aurore, fille du
Soleil,
Qui nais devant ton père,
Viens soudain me rendre le jour,
Pour voir … (Continuer)
Laisser un CommentaireTa rose de pourpre, à ton clair soleil,
O Juin, étincelle enivrée ;
Penche aussi vers moi ta coupe dorée :
Mon coeur à ta … (Continuer)
À Henri Cazalis.
Plus haut que le vol des ibis
Et la pointe des granits roses,
Et les pyramides moroses,
Et le vieux temple d’Anubis,… (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Madame ***.
Ô laissez-vous aimer !… ce n’est pas un retour,
Ce n’est pas un aveu que mon ardeur réclame ;
Ce n’est pas … (Continuer)
Hélas, depuis les jours des suprêmes combats,
Tes compagnes sont la frayeur et l’infortune ;
Tu n’as plus pour pays que des lambeaux de dunes… (Continuer)
Deux vieux marins des mer& du Nord
S’en revenaient, un soir d’automne,
De la Sicile et de ses îles souveraines,
Avec un peuple de Sirènes,… (Continuer)
Où quand comment d’où pourquoi oui pourquoi pourquoi pourquoi se peut-il que les langues les plus scélérates n’aient inventé que si peu de crocs à … (Continuer)
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