Peintre, avant que d’oser pourtraire
Ma dame et de la contrefaire,
Élève ton esprit aux cieux,
Va làhaut apprendre des dieux
Et des déesses immortelles… (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Peintre, avant que d’oser pourtraire
Ma dame et de la contrefaire,
Élève ton esprit aux cieux,
Va làhaut apprendre des dieux
Et des déesses immortelles… (Continuer)
Toi qui tins la lyre et le glaive,
Et qui marchais, rouge d’éclairs,
Dans l’action et dans le rêve,
O rude forgeron des vers
Qui … (Continuer)
Laisser un Commentaire‘-
Qu’est-ce que vous fabriquez là?
–
Des fabriques.
–
Pour fabriquer quoi?
–
Des fabriques.
–
Qu’est-ce qu’elles fabriquent?
–
Des machines à tuer … (Continuer)
Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor.
Ta gorge, ainsi deux beaux ramiers prennent l’essor,
Se soulève et s’abaisse au gré de ton … (Continuer)
Trois arbres galopaient,
Plus raides qu’un dimanche,
Sans connaître la paix,
Panthères sur les branches.
Le chêne a refusé
De vivre comme un chêne ;… (Continuer)
Laisser un CommentaireJe croise la maison toujours inhabitée au bord du sol qui devient dur et change sa matière
Là se tient le grand homme lourd et … (Continuer)
À Paul Fort.
Bâte un âne qui porte une outre d’eau de roche
à son flanc, car dans le pays des améthystes
qu’il te faut … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe jour fuit, la nuit tombe, et ses ombres glacées
Ajoutent leur tristesse à mes tristes pensées !
Pour moi, tout est besoin, souffrance, isolement,… (Continuer)
Nons mourrons, et c’est tristement inévitable.
Pensez-y, pensez-y en faisant votre ouvrage;
Vous pouvez bien être énervé, les jours d’orage ;
Dieu vous distribuera sa … (Continuer)
Novembre. Le vent d’Est pleure, et parmi les cieux
S’amassent les brouillards tristes et pluvieux.
Les oliviers sont noirs d’olives, et l’on coupe
Des roseaux … (Continuer)
Considérant le cours de vie humaine,
Mon simple état, train tel que et domaine,
Qu’il n’est besoin le mettre en inventaire,
N’enregistrer, mais trop mieux … (Continuer)
De boue le chemin est devenu.
Les arbres encore vivement vêtus.
La pluie récente parfume l’air.
Un million de feuilles se couchent par terre.
A … (Continuer)
Laisser un CommentaireDepuis que j’ai laissé mon naturel séjour
Pour venir où le Tibre aux flots tortus ondoie,
Le ciel a vu trois fois par son oblique … (Continuer)
Quelqu’un m’avait prédit, qui tenait une épée
Et qui riait de mon orgueil stérilisé :
Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
L’avenir ne … (Continuer)
Lorsque j’étais enfant surtout, j’aimais ce coin
Où sur leurs pieux rugueux on étale (non loin
De la bastide, afin d’y veiller sans fatigue)
La … (Continuer)