Du Père à son fils, l’affection. Du Prince au sujet, la justice. Du frère cadet à l’aîné, la subordination. D’un ami à son ami, toute … (Continuer)
Laisser un CommentaireDécouvrez la richesse de la poésie française
Du Père à son fils, l’affection. Du Prince au sujet, la justice. Du frère cadet à l’aîné, la subordination. D’un ami à son ami, toute … (Continuer)
Laisser un CommentairePoings carnassiers teintés du ciel brisé
torche parmi les fûts héréditaires
œil sans rives sans mémoire
dieu et que n’importunent vos fumées bleues
par la … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe suis l’oiseau incertain
Encagé dans l’errance
Et mon corps
Embaumé de nuit
S’abreuve à vos soleils
Dormant à présent
Les vols de syllabes furtives… (Continuer)
Très loin, dans le dedans de mon écorce chaude, dans le noir embrouillé des veines et du sang, le poseur de questions tourne en rond, … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe chante les Héros dont Esope est le Père,
Troupe de qui l’Histoire, encor que mensongère,
Contient des vérités qui servent de leçons.
Tout parle … (Continuer)
La rosée arrondie en perles
Scintille aux pointes du gazon ;
Les chardonnerets et les merles
Chantent à l’envi leur chanson ;
Les fleurs de … (Continuer)
Laisser un CommentaireVeuxtu l’acheter ?
Mon coeur est à vendre.
Veuxtu l’acheter,
Sans nous disputer ?
Dieu l’a fait d’aimant ;
Tu le feras tendre ;
Dieu … (Continuer)
Place du Carrousel
vers la fin d’un beau jour d’été
le sang d’un cheval
accidenté et dételé
ruisselait
sur le pavé
Et le cheval était … (Continuer)
Au mois d’avril, la terre est rose,
Comme la jeunesse et l’amour ;
Pucelle encore, à peine elle ose
Payer le Printemps de retour.
Au … (Continuer)
Laisser un CommentaireMon mal meurt mais mes mains miment
Nœuds, nerfs non anneaux. Nul nord
Même amour mol ? mames, mord
Nus nénés nonne ni Nine.
Où … (Continuer)
Au temps de ma jeunesse, harmonieuse lyre,
Comme l’eau sous les fleurs, ainsi chantait ta voix ;
Et maintenant, hélas ! C’est un sombre délire … (Continuer)
Sous ce large peuplier par trois fois trois je tourne,
J’y basty un autel de trois fois trois gazons,
J’y apporte du feu de trois … (Continuer)
Oh ! combien le péril enrichirait les Dieux,
Si nous nous souvenions des voeux qu’il nous fait faire !
Mais, le péril passé, l’on ne … (Continuer)
Ils marchaient à côté l’un de l’autre ; des danses
Troublaient le bois joyeux ; ils marchaient, s’arrêtaient,
Parlaient, s’interrompaient, et, pendant les silences,
Leurs … (Continuer)
Je les avais jadis visités, ces rivages
Où le cristal des eaux reflète un ciel si pur,
Où la terre embaumée abonde en fleurs sauvages,… (Continuer)
Comme Verlaine sans raison
Mon coeur est triste et se lamente
Ah ressembler au grand Villon
Etre un brigand, planter sa tente
Le soir courir … (Continuer)