O toi qui m’apparus dans ce désert du monde,
Habitante du ciel, passagère en ces lieux !
O toi qui fis briller dans cette nuit … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
O toi qui m’apparus dans ce désert du monde,
Habitante du ciel, passagère en ces lieux !
O toi qui fis briller dans cette nuit … (Continuer)
Ô cher âme
Je suis en larmes
Votre absence a perduré
Et je commence à déposer mes armes
Ô cher âme
Êtes-vous souffrante ? Ou … (Continuer)
(Études latines, XV)
Ô blanche Tyndaris, les Dieux me sont amis
Ils aiment les Muses Latines ;
Et l’aneth, et le myrte et le thym … (Continuer)
Aimer
Dorât, quelle folie!
Qu’a-t-il fait pour être illustré ?
De petits vers sans énergie,
Des romans sans philosophie,
Plus d’un drame décoloré.
Mainte insipide … (Continuer)
III.
Il croula. Dieu changea la chaîne de l’Europe.
Il est, au fond des mers que la brume enveloppe,
Un roc hideux, débris des antiques … (Continuer)
Ô mon ami, mon vieil ami, mon seul ami,
D’entre tout ce passé déjà mort à demi
Rappelle-toi nos soirs de détresse commune,
L’été, dans … (Continuer)
Sara, belle d’indolence,
Se balance
Dans un hamac, audessus
Du bassin d’une fontaine
Toute pleine
D’eau puisée à l’Ilyssus ;
Et la frêle escarpolette
Se … (Continuer)
Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer … (Continuer)
Chanson
Il était rue tique tique
Tiquetonne un épicier,
Qu’avait sa fille Angélique
Lique lique à marier,
Je veux qu’ell’ soit baronne
Ou danseuse, ou … (Continuer)
Laisser un CommentaireAinsi s’achève le roman.
Comme il se doit, le personnage
meurt au dernier chapitre.
On peut le regretter ;
on peut aussi parler de délivrance.… (Continuer)
Laisser un CommentaireNapoléon mourant vit une Tête armée…
Il pensait à son fils déjà faible et souffrant :
La Tête, c’était donc sa France bien-aimée,
Décapitée aux … (Continuer)
En toi je vis, où que tu sois absente :
En moi je meurs, où que soye présent.
Tant loin soistu, toujours tu es présente … (Continuer)
Sur le bord d’un puits très profond
Dormait étendu de son long
Un Enfant alors dans ses classes.
Tout est aux Ecoliers couchette et matelas.… (Continuer)
Assis au bord de la grand’route,
Les septs innocents de Pleumeur
Ne savent pas qu’on les écoute.
Dans leurs prunelles convulsées
Un restant de jour … (Continuer)
Si ce qu’on dit d’Esope est vrai,
C’était l’Oracle de la Grèce :
Lui seul avait plus de sagesse
Que tout l’Aréopage. En voici pour … (Continuer)
Le banc serait de lierre et de pierre effritée.
Auprès du vieux parterre où de tristes ricins
Ombrageraient la poule et ses petits poussins
Je … (Continuer)
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