Ode V.
Ainsi l’amour et la fortune,
Tous deux causes de mes douleurs,
Donnent à mes nouveaux malheurs
Leur force contraire et commune,
Ainsi la … (Continuer)
Ode V.
Ainsi l’amour et la fortune,
Tous deux causes de mes douleurs,
Donnent à mes nouveaux malheurs
Leur force contraire et commune,
Ainsi la … (Continuer)
À Béranger.
Jardin si beau devenu sombre,
Tes fleurs attristent ma raison,
Qui, semblable au ramier dans l’ombre,
S’abat au toit de ta prison.
Mais … (Continuer)
Fenêtre, qu’on cherche souvent
pour ajouter à la chambre comptée
tous les grands nombres indomptés
que la nuit va multipliant.
Fenêtre, où autrefois était assise… (Continuer)
Laisser un CommentaireVoulant te fuir (fuir ses amours !
Mais un poète est bête),
J’ai pris, l’un de ces derniers jours,
La poudre d’escampette.
Qui fut penaud, … (Continuer)
Puisque ma vie ne me plaît pas,
je m’en invente une autre.
Le siècle est jeune et maladroit
comme un poulain dans la prairie.
Les … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe dieu Désir, l’archer sauvage
Qui rit, sur un gouffre penché,
A longtemps dans un dur servage
Tenu la tremblante Psyché.
Bien longtemps il l’a … (Continuer)
Tu es comme un nuage
Et tu es retenue dans un paysage aveuglant
Terni et menacé par un trop long miracle
Un incendie de gerbes … (Continuer)
Laisser un CommentaireLes petits ifs du cimetière
Frémissent au vent hiémal,
Dans la glaciale lumière.
Avec des bruits sourds qui font mal,
Les croix de bois des … (Continuer)
Sur nos rochers se cache un doux trésor,
Qu’ailleurs en vain cherchent les hommes ;
Plus haut en prix que l’argent et que l’or
Il … (Continuer)
Toto a un nez de chèvre et un pied de porc
Il porte des chaussettes
en bois d’allumette
et se peigne les cheveux
avec un … (Continuer)
Laisser un CommentaireSi vous saviez ce qu’il y a
Dans l’oeil sans fond d’un petit chat,
Qu’il soit jaune, vert ou lilas
Vrai, vous n’en reviendrez pas!… (Continuer)
On lit dans les Annales de la propagation de la Foi :
« Une lettre de Hong-Kong (Chine), en date du 24 juillet
1832, nous … (Continuer)
L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires,
Frisonne; au fond du bois la clairière apparaît ;
Les arbres sont profonds et les branches sont noires ;… (Continuer)
Quand les cloches du soir, dans leur lente volée
Feront descendre l’heure au fond de la vallée,
Si tu n’as pas d’amis ni d’amours près … (Continuer)
Du rien je m’achemine aux pieds de JésusChrist,
Des pieds à son côté où je reçois l’esprit
Qui fait parvenir l’homme à la divine bouche … (Continuer)
J’ai faim
Mange ta main
Garde l’autre pour demain
Et ta tête
Pour les jours de fête.
Comptines… (Continuer)
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