Vague, perdue au fond des sables monotones,
La ville d’autrefois, sans tours et sans remparts,
Dort le sommeil dernier des vieilles Babylones,
Sous le suaire … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Vague, perdue au fond des sables monotones,
La ville d’autrefois, sans tours et sans remparts,
Dort le sommeil dernier des vieilles Babylones,
Sous le suaire … (Continuer)
Quand même tu dirais
Que tu me trahirais
Si c’était ton caprice,
Qu’est-ce que me ferait
Ce terrible secret
Si c’était mon caprice ?
De … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe ne t’ai pas connu, je ne t’ai pas aimé,
Je ne te connais point et je t’aime encor moins :
Je me chargerais mal … (Continuer)
À mademoiselle Louise B.
De nos jours, — plaignez-nous, vous, douce et noble femme ! —
L’intérieur de l’homme offre un sombre tableau.
Un serpent … (Continuer)
Les longs rideaux de blanche mousseline
Que la lueur pâle de la veilleuse
Fait fluer comme une vague opaline
Dans l’ombre mollement mystérieuse,
Les grands … (Continuer)
Laisser un CommentaireNuit dure nuit gaule sans étoile.
Je suis très mal avec l’espace.
Qu’importe.
Nuit sale haillon arbre fou je suis très mal avec le
Temps. … (Continuer)
O mon cœur ! ce sera dans l’Août bleu et torride.
Lasse, vous poserez sur le coffret de buis
vos ciseaux où s’accrochera de la … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa neige est triste. Sous la cruelle avalanche
Les gueux, les vanupieds, s’en vont tout grelottants.
Oh ! le sinistre temps, oh ! l’implacable temps… (Continuer)
Sonnet XCVII.
Oui, je suis proprement à ton nom immortel
Le temple consacré, tel qu’en Tauroscytie
Fut celui où le sang apaisait ton envie :… (Continuer)
Il est une claire fontaine,
Qui murmure nonchalamment
Non loin d’un cabaret flamand.
Le soir, dès que l’ombre incertaine
A jeté ses voiles flottants
Sur … (Continuer)
Domremy, 182…
Moi, que je sois royaliste !
C’est à peu près comme si
Le ciel devait rester triste
Quand l’aube a dit : Me … (Continuer)
Il fait si chaud que l’air vibre et que tout bruit devient assourdissant. Des meutes de chiens féroces aboient. Par les fenêtres ouvertes, les cris … (Continuer)
Laisser un CommentaireCouple heureux et brillant, vous qui m’avez admis
Dès longtemps comme un hôte à vos foyers amis,
Qui m’avez laissé voir, en votre destinée
Triomphante, … (Continuer)
La caravane humaine au Sahara du monde,
Par ce chemin des ans qui n’a pas de retour,
S’en va traînant le pied, brûlée aux feux … (Continuer)
Après le dîner servi dans les jardins d’hiver au milieu
des massifs de citronniers de jasmins d’orchidées
Il y a bal sur la pelouse du … (Continuer)
Laisser un CommentaireA la suite du temps présent
du dégoût soulevé le flanc couvert les bras tendus le cœur mis de côté
Avec toutes la place pour … (Continuer)
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