Cartilages trop mous.
Pavanes pour déesses
Ni vierges ni souillées.
Fièvre du paquebot
Qui digère le ciel et tout à coup se dresse
Comme sur … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Cartilages trop mous.
Pavanes pour déesses
Ni vierges ni souillées.
Fièvre du paquebot
Qui digère le ciel et tout à coup se dresse
Comme sur … (Continuer)
J’eus ce rêve. Elle a vingt ans, je n’en ai pas moins ;
Nous habiterons ces chers coins
Qu’embaumeront ses soins.
Ce sera là tout … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne feuille morte tombe, puis une autre, des platanes
dont la cime au soleil semble de corne pâle,
et j’entends des cailloux froids que les … (Continuer)
Laisser un CommentairePuisque ma bouche a rencontré
Sa bouche, il faut me taire. Trêve
Aux mots creux. Je ne montrerai
Rien qui puisse trahir mon rêve.
*… (Continuer)
Laisser un CommentairePar la surprise saisie,
Une bouche qui buvait
Au sein de la Poésie
En sépare son duvet:
-Ô ma mère Intelligence,
De qui la douceur … (Continuer)
Laisser un CommentaireEnfants et fleurs, vous, grâce de la vie,
Calices purs d’innocence et d’amour,
Voici Noël ! Noël tous nous convie,
Mais vous surtout êtes rois … (Continuer)
Ce cheval qui tourna la tête
Vit ce que nul n’a jamais vu
Puis il continua de paître
A l’ombre des eucalyptus.
Ce n’était ni … (Continuer)
Laisser un CommentaireFierté, pardonne-moi !
Fierté, je t’ai trahie !…
Une fois dans ma vie,
Fierté, j’ai mieux aimé mon pauvre coeur que toi :
Tue, ou … (Continuer)
dans l’épice grand large
il y a étale cette épaisseur comme une saison acide une tour vénéneuse qu’on finit par ne plus entendre parce que … (Continuer)
Laisser un CommentaireOn devient ce miroir, cette aube qui se lèche,
Ce livre pour absents, ce rire d’okapi
Dans une basilique.
On invente, on empêche
Le réel, … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’un toujours vit la vie en rose,
Jeunesse qui n’en finit plus,
Seconde enfance moins morose,
Ni vœux, ni regrets superflus.
Ignorant tout flux et … (Continuer)
Cette nuit, il pleuvait, la marée était haute,
Un brouillard lourd et gris couvrait toute la côte,
Les brisants aboyaient comme des chiens, le flot … (Continuer)
Ma peur bleue, ma groseille,
L’amour est une abeille
Qui me mange le cœur
Et bourdonne à ma bouche
Que tu nourris et touches
Des … (Continuer)
Laisser un CommentaireXCI.
A la beauté les yeux comme à leur centre tirent,
Le cœur et les désirs suivent des vœux les lois :
On ne sauroit … (Continuer)
Laisser un CommentaireComme un corps féminin que la mère Nature
N’a point favorisé de présent gracieux
S’efforce vainement, d’un art industrieux,
A vouloir déguiser sa première figure,… (Continuer)
À Parme, à Parme on fait du bon jambon,
À Parme, à Parme où pousse la violette.
À Parme nous irons
Manger du bon jambon,… (Continuer)
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