Ma petite Nymphe Macée,
Plus blanche qu’ivoire taillé,
Plus blanche que neige amassée.
Plus blanche que le lait caillé,
Ton beau teint ressemble les lis … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Ma petite Nymphe Macée,
Plus blanche qu’ivoire taillé,
Plus blanche que neige amassée.
Plus blanche que le lait caillé,
Ton beau teint ressemble les lis … (Continuer)
Las ! cettui jour, pourquoi l’aije dû voir,
Puisque ses yeux allaient ardre mon âme ?
Doncques, Amour, fautil que par ta flamme
Soit transmué … (Continuer)
Dans un flot de gaze et de soie,
Couples pâles, silencieux,
Ils tournent, et le parquet ploie,
Et vers le lustre qui flamboie
S’égarent demiclos … (Continuer)
Ode récitée au Théâtre de l’Odéon le 15 janvier 1851
I
Un rideau devant lequel sont groupées les trois Muses de la Poésie, de la … (Continuer)
Sur ton front brun comme la nuit,
Maître, aucun fil d’argent ne luit,
Et nul Décembre sacrilège,
Ne met sa neige.
Pourtant, dans ton labeur … (Continuer)
Un pétale de rose
qui valse, qui s’arrête.
Un scarabée heureux comme un silence.
Un silex qui recueille un soupir vagabond.
Une fontaine avec ses … (Continuer)
Laisser un CommentaireÔ terre, vil monceau de boue
Où germent d’épineuses fleurs,
Rendons grâce à Dieu, qui secoue
Sur ton sein ses fraîches couleurs !
Sans ces … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’ai vu dans la lune
Trois petits lapins
Qui mangeaient des prunes
Comm’ des p’tits coquins
La pipe à la bouche le verre à la … (Continuer)
Destins qui savez l’avenir,
Que pense Philis devenir,
Puisque pour habit elle porte,
Et les couleurs du déconfort,
Et les parures de la mort,
En … (Continuer)
À Edgar Poe.
Dans l’herbe folle et l’ortie,
La paupière appesantie,
Rôde un chat maigre au poil roux.
Le mur dans l’ombre blafarde,
Où s’entrechoquent … (Continuer)
Ô Songe doux, ô fantôme croyable
Qui m’entretiens en l’amoureux plaisir !
Entre mes bras, Hélène, mon désir,
Je te tenais cette nuit favorable,
Je … (Continuer)
Laisser un CommentaireSongeant la nuit, bien souvent je pense être
Auprès de toi couché certainement,
Et les beautés qu’en toi le ciel fit naître
Tâter, baiser, embrasser … (Continuer)
Les genêts luisent dans la lande désolée ;
Sur l’ocre des coteaux la bruyère est de sang :
Mais tu ne peux guérir mon cœur … (Continuer)
Laisser un Commentaire(Sur le portrait du P. Bourdaloue qu’elle lui envoya.)
Du plus grand orateur dont la chaire se vante,
M’envoyer le portrait, illustre présidente,
C’est me … (Continuer)
Je sais làbas une vierge rose
Fleur du Danube aux grands yeux doux
O si belle qu’un bouton de rose
Dans la contrée en est … (Continuer)
Faut-il, dit le déiste, enchaîner la raison ?
N’est-elle pas du
Ciel le plus précieux don ?
Et pouvons-nous penser qu’en nous l’Etre suprême
Veuille … (Continuer)