Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris !
La beauté qui me blesse, et qui tient mes esprits
En langueur continue,
Languit dedans un … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris !
La beauté qui me blesse, et qui tient mes esprits
En langueur continue,
Languit dedans un … (Continuer)
Les champs n’étaient point noirs, les cieux n’étaient pas mornes.
Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes
Sur la terre étendu,
L’air était … (Continuer)
Sans cesse autour de six pendules,
De deux montres, de trois cadrans,
Lutin, depuis trente et quatre ans,
Occupe ses soins ridicules.
Mais à ce … (Continuer)
Laisser un CommentairePour vos beaux yeux qui me vont consumant,
L’Amour n’a point de peine et de tourment,
De feu cuisant, ny de cruel martyre,
Que de … (Continuer)
Le coucher d’un soleil de septembre ensanglante
La plaine morne et l’âpre arête des sierras
Et de la brume au loin l’installation lente.
Le Guadarrama … (Continuer)
Laisser un CommentaireEtait-ce au temps des jalouses.
Etait-ce aux jours de la force.
Etait-ce en quatre-vingt-douze.
Ou en mil-neuf-cent-quatorze’.’
Etait-ce
Monsieur
Renan.
Etait-ce
Monsieur (« almcttc
Qu’on … (Continuer)
Laisser un CommentairePour que rien de nous deux n’échappe à notre étreinte,
Si profonde qu’elle en est sainte
Et qu’à travers le corps même, l’amour soit clair … (Continuer)
Et je retourne encor frileux, au jet des bruines,
Par le délabrement du parc d’octobre. Au bout
De l’allée où se voit ce grand Jésus … (Continuer)
Comme en passant
Entre deux lames
Au premier sang
Sur le qui-vive
Là pas de place
Maigre vertu
Se rit de toi
L’exode est sûr… (Continuer)
A Mademoiselle Louise B.
Un horizon fait à souhait pour le plaisir des yeux.
FÉNELON.
I
Oui, c’est bien le vallon ! le vallon calme … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand vous voyez, que l’étincelle
Du chaste Amour sous mon aisselle
Vient tous les jours à s’allumer,
Ne me devezvous bien aimer ?
Quand vous … (Continuer)
Laisser un CommentaireSur le vieux banc qu’ombrage un vert rideau de vigne
Clydie aux bandeaux purs, Clydie au col de cygne
Dévide, pour broder des oiseaux et … (Continuer)
La terre était immense, et la nue était morne ;
Et j’étais comme un mort en ma tombe enfermé,
Et j’entendais gémir dans l’espace sans … (Continuer)
Encore un jour où je t’attends où je m’accrois et me découvre au gré de l’hôte intermittent et des portes que ferme et ouvre le … (Continuer)
Laisser un CommentaireFable XII, Livre V.
LA LOUVE.
Rarement à changer on gagne.
Pourquoi veux-tu courir les champs ?
Crois-moi, reste sur la montagne.
J’aime ces bois, … (Continuer)
(Pour M.L.C.D.C. en captivité.)
À Iris.
Vous demandez, Iris, ce que je fais :
Je pense à vous, je m’épuise en souhaits.
Etre privé de … (Continuer)