Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends.
Vous attendez aussi mais je ne sais … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends.
Vous attendez aussi mais je ne sais … (Continuer)
Vieillir, se l’avouer à soimême et le dire,
Tout haut, non pas pour voir protester les amis,
Mais pour y conformer ses goûts et s’interdire… (Continuer)
Quand le front de l’enfant, plein de rouges tourmentes,
Implore l’essaim blanc des rêves indistincts,
Il vient près de son lit deux grandes soeurs charmantes… (Continuer)
Il est quatorze heures nous sommes enfin à quai
J’ai découvert un paquet d’hommes à l’ombre dans
l’ombre ramassée d’une grue
Certificats médicaux passeport douane… (Continuer)
Laisser un CommentaireVous avez un regard singulier et charmant ;
Comme la lune au fond du lac qui la reflète,
Votre prunelle, où brille une humide paillette,… (Continuer)
Vers cet espace calme où tourne l’hirondelle
Et qui ne connaît pas le cri des chairs mortelles,
Portez-moi, longs soupirs des oiseaux et des branches, … (Continuer)
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
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Il en est encore une au monde,
Je la rencontre quelquefois,
Je dois vous dire qu’elle est blonde
Et qu’elle habite au fond des bois.… (Continuer)
Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici,
Tu me dis, mon La Haye, il m’en souvient encore :
Souviennetoi, Bellay, de ce que … (Continuer)
Entre tant de beautés que partout on peut voir,
Je comprends bien, amis, que le désir balance ;
Mais on voit scintiller en Lola de … (Continuer)
Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle,
Ce pin, où tes honneurs se liront tous les jours :
J’ai gravé sur le tronc … (Continuer)
Sonnet.
Que n’ai-je un peu de voix ! J’ai le cruel ennui
De sentir mon poème en ma poitrine éclore,
Et de ne pouvoir pas, … (Continuer)
Sonnet.
Faites-vous de ces vers un intime entretien,
Pardonnez-moi tous ceux où, pour la renommée,
J’ai pu chanter l’amour sans vous avoir nommée,
Où j’ai … (Continuer)
Estce plaisir d’incertaine asseurance,
Contentement de crainctifve espérance ?
Estce douleur ou présente ou passée ?
Ce que je sens vient il de ma pensée,… (Continuer)
À mon ami Alfred Foulongne.
Hao ! Hao ! c’est le barbier
Qui secoue au vent sa sonnette !
Il porte au dos, dans un … (Continuer)
Cette pauvre raison dont l’homme est si jaloux
N’est qu’un pâle flambeau qui jette autour de nous
Une triste et faible lumière ;
Par delà … (Continuer)