A une femme poète.
I
Vos lèvres ont un chant pur et grave comme elles…
Il atteint donc aussi les jeunes et les belles
Ce … (Continuer)
A une femme poète.
I
Vos lèvres ont un chant pur et grave comme elles…
Il atteint donc aussi les jeunes et les belles
Ce … (Continuer)
J’aime la solitude et me rends solitaire
Pour penser librement à mes belles amours,
Je cherche les forêts et les lieux les plus sourds
Pour … (Continuer)
La ville c’est le port, où tout s’agite et crie,
Où la voile gaîment revient se reployer ;
Le quai, seuil de la mer et … (Continuer)
Des rêves à la pelle
comme si mes jours débordaient
et que ma plume était verte
Je dors avec mes ombres
et me réveille sans… (Continuer)
Laisser un CommentaireIncorruptible azur, déesse lumineuse,
Puisque vous avez bien voulu me visiter,
Je remettrai mon coeur entre vos mains soigneuses
Pour que vous le guidiez, par … (Continuer)
La fortune envieuse,
Voyant mon jour passer,
De la nuit est joyeuse
Pour me faire penser
Vrai ce que le Ciel dit
Pour se mettre … (Continuer)
Il est si tard, il fait, cette nuit de novembre,
Si triste dans mon cœur et si froid dans la chambre
Où je marche d’un … (Continuer)
Non je ne veux plus faire résonner les mots comme
autrefois
Avec cette férocité qui me broyait le coeur
Je suis assis ce soir
Le … (Continuer)
Laisser un CommentaireVous possédez fort inutilement
Esprit, beauté, grâce, vertu, franchise ;
Qu’y manquetil ? quelqu’un qui vous le dise
Et quelque ami dont on en dise … (Continuer)
Je suis initié, je connais le mystère
De la vie : une arène où l’immortalité
Est le prix de la lutte, et je m’y suis … (Continuer)
Le Point du Jour, le point blanc de Paris,
Le seul point blanc, grâce à tant de bâtisse
Et neuve et laide et que je … (Continuer)
Tout est mystère dans l’Amour,
Ses flèches, son Carquois, son Flambeau, son Enfance.
Ce n’est pas l’ouvrage d’un jour
Que d’épuiser cette Science.
Je ne … (Continuer)
Si la plage planche, si
L’ombre sur l’oeil s’use et pleure
Si l’azur est larme, ainsi
Au sel des dents pure affleure
La vierge fumée … (Continuer)
Oh ! laisse frapper à la porte
La main qui passe avec ses doigts futiles ;
Notre heure est si unique, et le reste qu’importe … (Continuer)
L’âge est venu, pas à pas, jour à jour,
Poser ses mains sur le front nu de notre amour
Et, de ses yeux moins vifs, … (Continuer)
Un pavillon à clairesvoies
Abrite doucement nos joies
Qu’éventent des rosiers amis;
L’odeur des roses, faible, grâce
Au vent léger d’été qui passe,
Se mêle … (Continuer)