Chacun peut bien de cette autre Diane
La beauté voir jointe à la chasteté
Mais je suis seul qui voy la Sainteté
Du clair esprit … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Chacun peut bien de cette autre Diane
La beauté voir jointe à la chasteté
Mais je suis seul qui voy la Sainteté
Du clair esprit … (Continuer)
(Lettre I)
[…] Tous les soirs, le soleil éteint par les ténèbres
Et comme enseveli sous de grands draps funèbres
Remit tous les matins, aussi … (Continuer)
Le soleil que sa halte
Surnaturelle exalte
Aussitôt redescend
Incandescent
Je sens comme aux vertèbres
S’éployer des ténèbres
Toutes dans un frisson
A l’unisson
Et … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’eau coule dans la boue et dans le bois, après
la pluie. C’est maintenant que sont trempés les prés.
Les merles vivent dans l’humidité des … (Continuer)
Laisser un CommentaireMadame la Pie, on vous salue.
Ne nous faites pas les mauvais yeux ;
Vous qui voyagez, si bien vêtue
De noir et de blanc, … (Continuer)
Laisser un CommentaireRéponse à la chanson de Becker
Nous l’avons eu, votre Rhin allemand,
Il a tenu dans notre verre.
Un couplet qu’on s’en va chantant
Effacetil … (Continuer)
Est-ce que c’est une chose ? —
Non.
Est-ce que c’est un être vivant ? —
Oui.
Est-ce que c’est un végétal ? —
Non.… (Continuer)
Laisser un CommentaireElle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère;… (Continuer)
le tronc enserré de liens
l’eau lance de brutaux surgeons
dans l’aire avide du courant
ce sont surgeons aveugles d’être
affamés affamés et claustrés de … (Continuer)
Laisser un CommentaireElle a mis, depuis que je l’aime
(Bien longtemps, peutêtre toujours),
Bien des robes, jamais la même ;
Palmire a dû compter les jours.
Mais, … (Continuer)
Laisser un CommentaireAux arbres il faut un ciel clair,
L’espace, le soleil et l’air,
L’eau dont leur feuillage se mouille.
Il faut le calme en la forêt,… (Continuer)
Une main bouge
pulsation sur la peau des mots
Du bas du verre
Jour que ne voile pas la nuit
Nuit
qui fond dans l’eau … (Continuer)
Sur la bruyère longue infiniment,
Voici le vent cornant Novembre ;
Sur la bruyère, infiniment,
Voici le vent
Qui se déchire et se démembre,
En … (Continuer)
J’avais toujours rêvé le bonheur en ménage,
Comme un port où le cœur, trop longtemps agité,
Vient trouver, à la fin d’un long pèlerinage,
Un … (Continuer)
Partout la mer unique étreint l’horizon nu,
L’horizon désastreux où la vieille arche flotte ;
Au pied du mât penchant l’Espérance grelotte,
Croisant ses bras … (Continuer)
On le surnommait le Simple d’esprit
11 était connu dans toute la forêt
et sur le bord de l’autoroute
À n’importe quelle saison
il se … (Continuer)
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