Comme un bétail pensif sur le sable couchées,
Elles tournent leurs yeux vers l’horizon des mers,
Et leurs pieds se cherchant et leurs mains rapprochées… (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Comme un bétail pensif sur le sable couchées,
Elles tournent leurs yeux vers l’horizon des mers,
Et leurs pieds se cherchant et leurs mains rapprochées… (Continuer)
France, telle qu’elle est, j’offre cette œuvre à toi
Comme un autre jadis l’eût dédiée au Roi,
Du temps où, sauf la cour, tout le … (Continuer)
Vous souvient-il, cocodette un peu mûre
Qui gobergez vos flemmes de bourgeoise,
Du temps joli quand, gamine un peu sure,
Tu m’écoutais, blanc-bec fou qui … (Continuer)
Un vieux faune de terre cuite
Rit au centre des boulingrins,
Présageant sans doute une suite
Mauvaise à ces instants sereins
Qui m’ont conduit et … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn homme et son pesant de doute
sont passés ce matin : une montagne s’est dissoute
et le soleil éteint
ne forme qu’un amas de … (Continuer)
Laisser un CommentaireMoi.
Chère infidèle ! eh bien, qu’êtes-vous devenue ?
Depuis quinze grands jours vous n’êtes pas venue !
Chaque nuit, à l’abri du rideau de … (Continuer)
Laisser un CommentaireSachons adorer ! Sachons lire !
La Coupe, le Sein et la Lyre
Nous donnent le triple délire.
Symbole dont le fier dessin
Fut jadis … (Continuer)
Laisser un CommentaireÉgaré sur l’Othrys après un jour de jeûne,
Le plus ancien des Dieux, l’éternellement jeune
Amour, le dur chasseur que l’épouvante suit,
Né de l’œuf … (Continuer)
Laisser un CommentaireOn en voit trop qui, nouveaux mariés,
N’ont dix écus en leur bourse liés ;
Mais avec temps, amour et loyauté,
Acquièrent biens et richesse … (Continuer)
Si les feux dans la nuit faisaient des signes certes la peur serait un rire et l’angoisse un pardon mais les feux dans la nuit … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe carré a quatre côtés
Mais il est quatre fois pointu
Comme le Monde.
On dit pourtant que la terre est ronde
Comme ma tête… (Continuer)
Laisser un CommentaireA Moulmein près de la vieille Pagode, regardant la mer à l’est,
Est assise une jeune Birmane, et je sais qu’elle pense à moi;
Car … (Continuer)
Laisser un CommentairePeutêtre que si j’ai osé t’écrire,
langue prêtée, c’était pour employer
ce nom rustique dont l’unique empire
me tourmentait depuis toujours : Verger.
Pauvre poète … (Continuer)
Laisser un CommentaireIl ne vous faut qu’un peu de nuit
pour entendre fleurir le sang
un grand feu profond comme un puits
plein de vifs éclairs trébuchants… (Continuer)
Laisser un CommentaireOr qui m’aimera, si me suive,
Je suis Bon Temps, vous le voyez ;
En mon banquet nul n’y arrive
Pourvu qu’il se fume ou … (Continuer)
Soleil aux aplombs verts
ces contrées étaient tiennes par toutes les racines
des muscles et des pierres
par les nefs et le vent
par les … (Continuer)