Dans le matin diminué par le brouillard de
novembre
Rassemblant péniblement des mots
Qui ne ressemblent pas à la vision des arbres
Encore de la … (Continuer)
Laisser un CommentaireDécouvrez la richesse de la poésie française
Dans le matin diminué par le brouillard de
novembre
Rassemblant péniblement des mots
Qui ne ressemblent pas à la vision des arbres
Encore de la … (Continuer)
Laisser un CommentaireLumière de genêt, jaune, les pentes
suppurent vers le ciel, l’épine
courtise la plaie, cela
sonne là-dedans, c’est le soir, le néant
roule ses mers … (Continuer)
Laisser un CommentaireToupet du père, de sa houppe et de ses pets !
Amères, frénétiques mères, qui disent «
Dieu »,
Qui disent «
On » —… (Continuer)
de moi-même
à moi-même
hors toute constellation
en mes mains serré seulement
le rare hoquet d’un ultime spasme délirant
vibre mot
j’aurai chance hors du … (Continuer)
Laisser un CommentaireTu t’installes dans un abri
sans chercher nulle preuve
de joie, de tendresse,
tu cèdes à l’étreinte du silence
sans vouloir accéder aux serrures,
tu … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe cimetière est un jardin
Rempli de fleurs et de lumière ;
Le jasmin fleurit sur la pierre,
L’oiseau chante sur le jasmin ;
Mais … (Continuer)
Fable XIII, Livre V.
Entre nos frères les meuniers
Et nos frères les charbonniers
J’ai vu régner longtemps une haine assez forte.
À quel propos … (Continuer)
A cause de l’eau le toit glisse
A cause de la pluie tout se fond
Le pétrole l’alcool et ma faible bougie
Ont incendié la … (Continuer)
Laisser un CommentaireBonsoir, chère Évohé. Comment vous portez-vous ?
Vous arrivez bien tard ! Comme vos yeux sont doux
Ce soir ! deux lacs du ciel ! … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans dix ans d’ici seulement,
Vous serez un peu moins cruelle.
C’est long, à parler franchement.
L’amour viendra probablement
Donner à l’horloge un coup d’aile.… (Continuer)
Saouls, des permissionnaires en route vers la gare de l’Est, à chaque station passaient la tête par la portière et gueulaient un refrain imbécile et … (Continuer)
Laisser un CommentaireVenez à moi, claquepatins,
Loqueteux, joueurs de musettes,
Clampins, loupeurs, voyous, catins,
Et marmousets, et marmousettes,
Tas de traîneculleshousettes,
Race d’indépendants fougueux !
Je suis … (Continuer)
… et comme chaque année jamais le printemps
par ici comme ailleurs n’a été aussi beau
Et qu’est-ce que ça peut faire
disait le charbonnier… (Continuer)
Laisser un CommentaireLes branches se saluent
Les branches ont des vertus de chiens.
Les branches se saluent
Et bavardent de leurs liens.
Les branches ont des plumages… (Continuer)
Sonnet.
Le sol trempé se gerce aux froidures premières,
La neige blanche essaime au loin ses duvets blancs,
Et met, au bord des toits et … (Continuer)
I
Ne crains plus rien d’un cœur qu’a trahi sa fierté :
J’ai descendu la cime éclatante du Rêve.
Pour m’apporter l’oubli l’ivresse fut trop … (Continuer)
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